1. Du cœur à l ouvra ge


    Datte: 29/11/2019, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... certain mépris.
    
    Elle devait se dire : « Mon vieux tu peux toujours t'astiquer, seul ton pote mignon en croquera ! » Bref nous en étions à ce contexte classique. Je voyais le moment où peu avant la fin des travaux, ces deux-là allaient s'envoyer en l'air dans la chambre. Cependant il y eût un jour, où madame s'offrit le loisir dans le salon de lire devant nous dans le salon, allongée sur le dos dans son divan, cuisses ostensiblement ouvertes. Le choquant était qu'elle s'était affublée d’une culotte qui ne cachait pas grand-chose. Quasi on lui voyait tout le minou frais et rasé. C'était d'une folle indécence.
    
    Manifestement c'était un signal adressé à Karl. Madame s’impatientait. Mon gars n’eut qu'un geste à faire. Je pense qu'elle eût accepté même qu'il la prit là illico au salon devant moi. Karl et moi, nous nous échangions des sourires entendus. Je l'encourageais d'une certaine façon à ne pas se gêner pour moi. C'est alors à ce moment-là que le mari arrivât. Ce n'était pas prévu. Je sus plus tard qu'on lui avait annulé une réunion et que peu loin, il avait cru devoir faire un saut chez lui. En un instant il s'avisât du comportement inqualifiable de son épouse et que celui-ci s’originait chez le beau Karl.
    
    Il signifia à madame de le suivre dans la cuisine dont il ferma la porte derrière lui. Le ton monta. Il y eût engueulade. A un moment je perçus le terme éloquent de « Sale pute ». Ça bardait. Nous nous faisions petits et néanmoins rigolions dans nos barbes. Rouge ...
    ... et furibond il sortit enfin de la cuisine tandis que madame s'enfuyait à l'étage. Le mari me fit signe. Je voyais le moment qu'il allait aussi me rabrouer. Je vis cependant qu'il se reprenait déjà et que la honte à présent l'envahissait de s'être ainsi répandu devant nous, deux étrangers. Il essayait maintenant de me le faire à la dignité.
    
    Tout de sang froid, il me parlât métier. Il me félicitait d'avoir trop bien bossé. Pour lui nous avions en sommes terminé. Je protestais car il restait deux, trois détails à achever. Il me dit qu'il n'en était rien et que de toute façon il se sentait de force à régler cela lui-même. Bref il m'invitait à revenir demain seul à la première heure pour terminer le tout dans la matinée. Me regardant tout au fond des yeux il insistât bien : « Je vous recevrais demain à sept heures seul et je majorais votre prix car vous avez je le répète fort bien travaillé. Je compris que Karl était écarté. Ainsi on le sanctionnait.
    
    Du reste sanctionnait-on davantage madame que Karl lequel s'en foutait. Tout au plus celui-ci dit : « Je ne saurais jamais ce qu'elle valait au pieu. » Je ne crus pas moins devoir le consoler lui révélant que l'imbécile allait nous gratifier. Je lui en reverserais la moitié. Bref j'étais résolu à me débarrasser de ce chantier. Je n'avais plus le cœur à l'ouvrage. On m'avait demandé de bâcler et même allait-on me rémunérer pour cela. C'était à n'y rien comprendre. Le lendemain je vis le soulagement de me voir seul, délesté de mon ...