Mercredi soir - Histoires de Sexe

Mercredi soir

... sortis alors ma queue de son sexe et y plantai un doigt, que je tournais pour l’imbiber de son liquide. Karine me regardait dans la glace, les cheveux trempés de sueur. Je lui tendis mon doigt, elle le suça goulument tout en ondulant du bassin sur mon pieu raide et dur. Je me reculai à nouveau pour m’enfoncer en elle. Je posai mon doigt mouillé sur son petit trou. Je le titillais, le faisais frémir. Et tout en la possédant, j’introduisis lentement mon index dans son anus, ce qui la fit d’abord sursauter de surprise, puis gémir de bonheur. Une phalange, puis le doigt en entier.

— Hmmm… coquin… tu oses…
— Mmmm, ma belle… c’est si tentant… et si étroit. Un bonheur…
— Tu vas m’élargir… Je… me doute… pourquoi… Tu as… envie de moi… toute entière ?
— Je vais tout posséder de toi, belle blonde…

Nos regards dans le miroir en disaient long, chacun voulait que l’autre fasse comme il a envie.

Je sortis alors ma queue luisante de sa cyprine pour la présenter devant son anus. Karine tourna la tête, je sentais dans son regard une petite crainte, mais surtout beaucoup d’excitation. La tenant fermement aux hanches, je poussai mon gland à l’entrée de sa rondelle. Elle s’ouvrit lentement, me permettant d’entrer en elle. Je coulissai doucement, pour finalement l’empaler de toute ma queue. Je restai sans bouger, puis entamai un lent va-et-vient dans son cul. Le trou était étroit, chaud mais extrêmement accueillant. Elle commençait de gémir. Sa rondelle enserrait ma tige avec douceur, ...

... je savourai cet instant de plaisir extrême. Je me doutais qu’elle subissait sa première sodomie, ce qui fit encore gonfler ma queue et me donna l’énergie pour redoubler mon assaut. Je n’allais pas tenir une éternité. Elle me disait qu’elle aimait, c’était une nouvelle sensation pour elle. J’accélérai un peu, les premiers spasmes du plaisir montaient en moi.

Ce fut l’explosion. Des jets épais de ma semence éclatèrent dans son petit trou. Je me sentais la remplir de tout mon jus chaud et dense. Je sortis ma queue avant que j’ai fini et un dernier jet vint sur sa petite fente béante, trempée.

Mon sexe ramollissant, je fixai sa croupe, lubrifiée de mon sperme, de son anus à son vagin. Karine ne tenait plus, elle haletait, vacillait sur ses jambes. Elle se retourna et m’embrassa fougueusement.

— Tu sais que t’es le premier, me dit-elle dans un doux murmure.
— Il me semblait, ma belle. J’ai adoré te faire ça. Et toi ?
— Au début, c’était un peu douloureux, mais après ça allait. Même excitant je dois avouer…

Elle rabattit sa petite jupe et fut étonnée de ne pas trouver son string. Je le lui tendis, mais le repris, lui faisant comprendre que je voulais le garder, non comme trophée, mais comme souvenir impérissable de ses effluves intimes. Elle sourit, je l’embrassai encore.

Un peu rafraîchis après notre débauche, on se recoiffa et on retourna dans la salle de danse retrouver sa sœur. Qui fut bien étonnée, un petit rictus aux lèvres, de nous revoir dans cet état. Je ...