1. Mercredi soir


    Datte: 29/11/2019, Catégories: fh, vacances, boitenuit, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pénétratio, fdanus, fsodo, Auteur: Floks, Source: Revebebe

    ... ses fesses et se fraya un passage le long de sa raie. Je soulevai la jupe, pour voir le string qu’elle portait.
    
    — Humm… ouahh ! Super, le petit ficelle ! Super-sexe…
    — Joli, hein ? Son regard coquin dans le miroir en disait long.
    — J’adore, ma belle…
    
    Mon doigt continuait son exploration et s’arrêta sur les petits bourrelets de sa vulve fine. Elle mouillait fort, je sentais le fin tissu trempé de son jus. Sa chatte m’invitait à aller plus loin. J’écartai la ficelle et posai mon index sur sa fente, je le fis entrer doucement en elle. Karine fermait les yeux, appréciant le plaisir que lui donnait mon doigt la fouillant. Je la doigtai ainsi et lui mit un deuxième, qui entra sans sourciller. Je voyais dans le miroir les pointes de ses seins ressortir sous la chemise blanche. Ma main libre alla se faufiler dans son décolleté pour prendre son sein gauche dans la paume, le peloter, le caresser, et entre trois doigts pincer sa pointe, qui durcit aussitôt.
    
    — Baisse-moi ce string…Touche-moi… Fouille… dit-elle en râlant de bonheur.
    — Bien sûr, Karine… Je vais te fouiller partout.
    
    Elle comprit mon intention en écartant les cuisses, je baissai alors son string à ses chevilles pour le ramasser et le sentir. Une odeur douce de jeune femme, de jeune chatte, s’en dégageait, enivrante, bandante. Ma queue me faisait mal dans mon pantalon, tant elle était dure. Je glissai son string dans une poche de mon jean. Je pris un petit moment pour regarder et contempler cette croupe devant ...
    ... moi. On voyait ses lèvres entre ses cuisses, fine fente de plaisir qui ruisselait de cyprine et sa petite rondelle rose, qui palpitait tellement ce corps demandait du sexe. Je me déboutonnai vite fait et sortis ma tige déjà prête à exploser.
    
    Me frottant à elle, pour lui faire sentir que je bandais et que je ne pensais qu’à entrer, je pris ses seins dans les mains et les sortis de leur gaine de dentelle blanche. Sa poitrine ressortait du soutien-gorge de manière indécente, comme si Karine les offrait, les mettait en pâture. Entre mes doigts je triturais ses fines pointes durcies. Elle fermait les yeux, semblant aimer ma torture.
    
    Reculant un peu, je pris ma queue dans la main et approchai de son vagin humide. Nos regards se croisèrent alors dans la glace. Je voyais dans ses yeux une supplication à ma pénétration, dans les miens une perversité de posséder ses tripes de jeune femelle. Je poussai doucement ma tige, qui se fraya un chemin entre ses lèvres vaginales. Je sentais leur étroite pression autour de mon sexe. Le plaisir me montait vite. J’entrepris un lent va-et-vient en elle, gémissant de plaisir. Sa chatte était chaude et luisante de sa cyprine, je glissais très bien en elle. J’avais envie qu’elle sente ma queue au fond de son petit vagin. J’accélérai la cadence pour la prendre plus bestialement. Karine se cramponnait au lavabo, suante de plaisir.
    
    Regardant sa croupe, tout en la tenant aux hanches afin de mieux la limer, j’étais obsédé par sa petite rondelle. Je ...