Claude-Marie: Cahier 1 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 1

... levés vers moi et son visage semblait radieux, elle semblait me sourire.

Quand j'ai eu fini de jouir, je me suis mis à lui caresser les cheveux. Elle était toujours collée sur ma queue. Je la sentais sucer mon gland comme si c'était une friandise. Elle me caressait les jambes et les fesses. Lentement, mon sexe a perdu sa raideur et ma mère a lentement laissé glisser mon gland hors de sa bouche. J'ai vu une mince trainée de liquide lubrifiant s'échapper de mon sexe créant un filet qui est allé se coller contre le menton de ma mère.

Elle se redressait lentement, caressant l'arrière de mon corps ce faisant. Tout en se redressant, elle maintenait un contact étroit entre nos corps. Quand elle fut complètement redressée, elle a placé ses mains sur mes omoplates. Elle nous forçait à nous étreindre l'une contre l'autre. Elle a approché sa bouche de la mienne en fermant les yeux et en penchant légèrement la tête. Je l'ai entouré avec mes bras et j'ai moi-même fermé mes yeux. J'allais embrasser d'une façon charnelle ma mère pour la première fois.

Sensuellement, elle a déposé ses lèvres sur les miennes et doucement elle les a écartées. J'en ai fait autant sans pour autant prendre les devants. Je respirais profondément par les narines ce qui me permettait de sentir mon odeur sur son visage. Délicatement, j'ai senti sa langue pénétrer ma bouche. J'ai immédiatement réalisé qu'elle était couverte de mon sperme. Elle a légèrement déplacé sa tête et j'ai réalisé que mon sperme ...

... coulait lentement de sa bouche dans ma bouche. Je me suis alors mis à être plus actif caressant sa langue avec la mienne puis pénétrant sa bouche de ma langue. Nous nous sommes embrassés avec fougue pendant de longues minutes.

Quand finalement nos bouches se sont séparées, j'ai dû déglutir avec effort pour avaler le mélange de sperme et de salive que j'avais en bouche. Ma mère en faisait autant et me serrait avec vigueur dans ses bras.

« Ma chérie. » Me dit-elle.

« Maman... Renée, tu sais que je t'aime, mais on ne peut pas faire cela... »

« Pourquoi pas? Nous sommes des amies, nous n'avons pas à avoir honte de nos corps ou de nos pulsions. »

« Mais... »

Ce soir-là ma mère m'a amené au restaurant et nous avons continué notre discussion. Lentement, j'acceptais de jouer le rôle que monsieur Joseph et ma mère voulaient que je joue. Lentement, j'acceptais que la relation avec ma mère change. Quand nous sommes rentrés, elle m'a montré les nombreuses choses qu'elle m'avait achetées avec de l'argent que monsieur Joseph lui avait donné. Elle m'a suggéré de le remercier pour tout ce qu'il faisait pour moi. Avant de me coucher, elle m'a brossé les cheveux encore une fois. En m'endormant, j'avais l'impression d'être dans un rêve.

Jeudi 25 juillet 2002

Finalement le matin j'ai pu rencontrer monsieur Joseph. Je ne savais pas exactement comment le remercier. Je voulais qu'il comprenne à quel point ce qu'il faisait pour moi me touchait. Avant qu'elle ne me laisse au spa, je ...