Claude-Marie: Cahier 1 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 1

... cuisses. Ma mère sort un porte-jarretelles blanc en dentelle. Elle l'attache à ma taille. La dentelle couvre mes hanches. Elle attache les jarretelles aux jarretières et tend les bas. Je me penche pour voir le résultat qui est affriolant.

« Ma chérie, tu sembles aimer tes nouveaux dessous. »

Ma mère caresse un instant mon sexe.

« Renée, tu ne peux pas faire cela. »

Je le disais sans vraiment le penser. Ma mère m'excitait réellement. Je pousse ma tunique vers le bas, la tirant un peu plus que nécessaire.

« Assieds-toi alors. »

Après m'être assis, ma mère prend un grand sac duquel elle sort une boite. Dans la boite, il y a une paire de bottes blanches vernies avec des talons aiguilles vertigineux et une semelle compensée. Ma mère me dit que le talon fait treize centimètres. Une fois lacée, la botte moule parfaitement mon mollet. La botte termine le travail et je me sens mon sexe pleinement gonflé. Ma mère me tend les mains et m'aide à me lever. Je suis beaucoup plus grand maintenant. J'aimerais me voir dans une glace. Ma mère se place derrière moi, je l'entends fouiller dans un sac. Je commence à me retourner.

« Non, non! Attends un peu. »

Elle passe ses mains de part et d'autre de ma tête et je réalise qu'elle me passe un collier de perles d'eau douce avec plusieurs rangs qui en fait un large collier. Elle l'attache derrière mon cou pendant que moi je le caresse. Je la sens se lover contre mon dos quand elle a terminé. Elle place ses mains sur mes ...

... petits seins et les glisse lentement sur mon corps.

Je me lamente: « Renée... »

« Tu ne peux pas sortir avec une bosse devant ta tunique, ma belle. Laisse-toi faire. »

« Renée... Maman... »

Déjà, elle relevait ma tunique. Je laissais ma tête retomber vers l'arrière. Elle m'embrassait le cou. Sa main droite caressait ma queue à travers mon tanga. Je ne pouvais accepter la situation et en même temps je désirais ses caresses. Ma main droite est allée joindre la sienne. Doucement, ma mère a retiré sa main afin que je me masturbe seul. Elle continuait à m'embrasser le cou et le mordillait par moment. Lentement, ses baisers se sont déplacés et après un moment j'ai senti sa langue pénétrer mon oreille m'envoyant une onde de plaisir. Je me sentais près du point de non-retour quand elle a fait quelque chose de complètement inattendu. Elle s'est recroquevillée puis elle m'a fait tourner sur mes talons de sorte que ma queue était directement devant à sa bouche. J'ai cessé de me masturber et elle a déposé ses lèvres délicatement sur mon gland.

C'en était trop. J'ai placé mes deux mains dans ses cheveux au moment où je me sentais passer le point de non-retour. Ma jouissance m'a frappé de plein fouet et elle ne semblait pas vouloir se terminer. Tout mon corps était traversé de spasmes violents. Malgré cela, ma mère gardait ses lèvres sur mon gland et léchait du bout de ma langue mon méat. Je sentais mon jus quitter ma queue et emplir la bouche de ma mère. Elle avait les yeux ...