Rupture
Datte: 28/11/2019,
Catégories:
fh,
69,
pénétratio,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... de plaisir. La plainte est devenue gémissement, qui s’est amplifié, puis un bref cri, une contraction et une source est venue abreuver la bouche quémandeuse.
Les mains ont empoigné les cheveux et ont remonté les lèvres pour goûter à la saveur féminine. Nouveau baiser, épicé à présent. Entre ses jambes, elle sent l’outil qui va la labourer. Mais Robert est fasciné par ces seins, qui émergent sur ce torse. Il en agace les pointes, avec les doigts, avec les dents provoquant des frissons dans tout le corps.
Elle éloigne la tête, se redresse, amène son partenaire à s’allonger sur le lit. Elle admire alors le sexe dressé, le prend en main, le manipule, penche son visage pour d’abord l’admirer, le lécher, puis l’absorber.
Immobile, Robert apprécie cette caresse merveilleuse, prodiguée par une experte. Il sent monter le plaisir, halète, se dégage de ce délicieux piège. Pas besoin de mots pour qu’elle comprenne qu’il désire une union plus totale.
Mais le bonheur ressenti ne lui fait pas perdre l’esprit. Saisissant sur la table de nuit l’accessoire préparé, elle pare l’outil d’une protection.
Elle grimpe sur la couche, s’allonge sur son prochain amant, mettant en place le sexe dans son antre, se laissant descendre lentement, à fond, jusqu’à ce qu’ils ne forment plus qu’un seul corps.
Immobile, elle attend un peu que se calme le paroxysme du désir de son partenaire. Puis elle commence le balancement, lent, régulier. Robert la laisse mener le jeu un moment. Mais vient ...
... le temps où il sent à nouveau la sève monter en lui. Saisissant les hanches féminines, il indique la cadence à sa partenaire. À grands coups elle monte sortant presque l’épée du fourreau pour la renfoncer immédiatement après.
À ce rythme rapide, il ne peut tenir longtemps et bientôt explose, déclenchant un nouveau plaisir chez sa maîtresse.
Ils sont retombés cote encore enlacés, les corps se détachant d’eux mêmes. Silencieux, ils apprécient le plaisir ressenti.
— Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir, avoue Robert.
— C’est vrai, rarement un homme, surtout un jeune, m’a aussi bien comprise.
Ils sont allés se doucher puis ont regagné le lit, rien que pour le plaisir d’être ensemble. Pourtant, après un long moment elle lui a dit :
— Robert, rentre chez toi, je n’ai jamais pu dormir avec un homme à mon coté.
— Bon, je m’en vais puisque tu le désires. Mais j’aurais bien aimé rester, rien que pour être sûr que je n’ai pas rêvé. Je suis tellement bien ! Demain c’est moi qui t’invites.
— Non, le mercredi après midi je ne travaille pas, je vais voir mes parents. Mon père est très fatigué, je vais soulager ma mère qui est débordée. Je ne rentrerai que jeudi matin. Et je repars vendredi soir, directement du travail, pour passer le week-end chez moi.
— Alors, nous ne nous verrons pas souvent, j’aimerais tant t’avoir près de moi.
— Ne te fais pas de cinéma, nous sommes bien ensemble, mais je te l’ai dit, je veux rester libre, tu es d’ailleurs beaucoup trop jeune ...