Jennifer
Datte: 27/11/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
jeunes,
copains,
grosseins,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... ça !
— C’est aussi simple que ça, ai-je répété, dans une question.
En même temps, j’y répondais, dans ma tête, et c’est vrai que ça avait l’air simple. Ça me rendait même une bonne part de ma joie, parce que j’avais pris la décision de le faire, là, sur-le-champ !
— Je peux y aller maintenant ?
— Oui, tu peux… je t’en prie… le plus tôt sera le mieux… et comme ça, jamais tu ne la perdras, comme moi !
— Oh… je t’aime Luc… Comment tu peux me comprendre aussi bien… avant que je me comprenne moi-même ?
— Ben en fait, Geneviève m’y a beaucoup aidé… parce qu’on parle beaucoup de toi, si tu veux le savoir…
— Aaah, vous faites des messes-basses sur moi… Tu me raconteras ce que vous dites ?
— Oui, mais pas maintenant… Allez, file… Et que je n’te revois pas avant demain !
Je me suis rhabillée vite fait, et j’ai tenu à dire «au revoir» à l’amour de ma vie. Je l’ai plaqué au mur à côté de sa porte d’entrée :
— Bon… là, j’vais «m’occuper» de Florence… mais, j’peux te dire une chose, mon amour ?
— Oui, vas-y.
— J’te promets que t’auras droit à une fête, demain soir… comme notre première nuit… D’accord ?
Il a acquiescé de la tête, ses yeux dans les miens. Il savait que ce n’était pas une promesse en l’air, parce que j’avais senti la luxure revenir dans mon corps… Ça faisait presque une semaine qu’elle l’avait quitté. Avant de partir, je lui ai donné «son» baiser, point par point.
…
Il haletait quand je l’avais laissé. À vrai dire, je haletais aussi. Beaucoup ...
... de choses affolaient mon souffle : mon baiser m’avait été rendu par Luc et c’était bon de «retrouver» notre ancienne passion. Je respirais vite parce que je marchais vite… et la fébrilité dans laquelle m’avait jeté ce que je m’apprêtais à faire, provoquait un écoulement et un réchauffement à un certain endroit de mon anatomie.
Arrivée chez nous, je suis restée un long moment le dos contre la porte d’entrée, à reprendre mon souffle. J’avais chaud, vous pouvez pas savoir. J’avais l’impression de puer le sexe à plein nez, alors je suis allée prendre une douche. Ensuite, je me suis rendue à ma chambre, à poil, et j’ai déniché un caleçon et un t-shirt. J’m’en fichais, parce que, de toute façon j’allais les virer, ça n’allait pas traîner.
Tout ça pour vous dire que la douche ne m’avait pas calmée… loin de là ! Il s’était passé trop de temps (je dirais, trois ou quatre minutes), depuis que j’étais entrée dans celle-ci. Dans ma tête, je me suis dit :
«C’est maintenant ma cocotte… Vas-y, mais calme-toi… Ne la viole pas… Aime-la !»
J’en étais là quand j’ai ouvert sa porte et que j’ai risqué un œil dans sa direction. Elle avait une jambe sous le drap et s’apprêtait à y mettre la deuxième, quand elle a tourné la tête dans ma direction. Je ne savais pas quoi dire. Pour être honnête, son air neutre me désarçonnait un peu. Je lui aurais presque préféré une nouvelle colère, parce que là, j’y étais à peu près préparée. J’ai fait un pas, puis deux vers elle, et l’expression de son ...