1. Jennifer


    Datte: 27/11/2019, Catégories: fh, ff, fbi, jeunes, copains, grosseins, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe

    ... tu n’oseras pas, mais il FAUT que tu lui parles… parce que, non seulement Florence, mais lui aussi, tu le perdras !
    — …
    — Oh, je vois la peur dans tes yeux… Ne t’inquiète pas pour Luc… je lui parlerai moi, si tu n’y arrives pas… Il sait déjà tout sur ses vrais parents, mais je lui rafraîchirai la mémoire, si besoin est !
    
    …
    
    Quand «nos» hommes sont arrivés (bredouilles, mais hilares), il ne me restait presque plus rien à demander à Luc… une formalité…
    
    N’empêche qu’il m’a fallu deux jours entiers, pour lui avouer ce que je ressentais pour Florence. Geneviève m’y avait aidée, mais je crois qu’il n’a pas été long à comprendre… sans qu’elle n’ait à lui «rafraîchir la mémoire». Il m’a même affirmé qu’il comprenait que ce que pourrait m’apporter Flo, lui en serait incapable.
    
    Je me demande s’il ne savait pas, avant que Geneviève ne me le révèle, que j’aimais la femme qui partageait notre appartement… même aujourd’hui ?
    
    Je me demande s’il ne s’en était pas douté, la première fois que je lui en ai parlé ? Vous savez, après notre premier dîner, en compagnie de Samuel.
    
    Je n’ose pas lui poser la question…
    
    Mais ça viendra, parce que j’ai bien retenu la leçon de Geneviève !
    
    …
    
    Je me suis mise à passer plus de temps à la maison. J’avais accepté le fait que j’aimais mon amie et je voulais le lui dire, mais j’hésitais encore. Je pensais constamment au contact de ses lèvres sur les miennes… Je pouvais presque les sentir. La nuit, c’était pire encore : nos corps, dans ...
    ... ce qui ressemblait à des rêves, s’affrontaient en des luttes sauvages mais amoureuses. Je vous disais que ça ressemblait à des rêves parce que je ne dormais pas, ou très peu. C’était comme des hallucinations. Je vivais ces étreintes toutes les nuits… et le jour, ce petit bout de femme m’inspirait la plus grande peur de mon existence.
    
    On se voyait tous les jours, Luc et moi. Quelques fois, on avait fait l’amour aussi, mais ça ne ressemblait plus à ce que nous avions connu lors de notre première nuit. Il m’a dit, vendredi après-midi, alors qu’on venait de le faire encore une fois, dans sa chambre à lui, au-dessus du bar :
    
    — Tu ne lui as toujours pas dit, n’est-ce pas ?
    — Non… j’y arrive pas… j’ai trop peur…
    — Écoute-moi Jennifer… il faut que tu te débarrasses de ça… de cette peur. Il faut que tu enlèves Florence d’entre nous, parce que ça ne peut plus durer, a-t-il risqué, la voix un peu triste.
    — Que je l’enlève d’entre nous… qu’est-ce que tu veux dire ?
    — Mon ange… elle est là quand on fait l’amour… là, dans nos têtes… ne me dis pas le contraire ! Même moi, je pense à elle, comme une sorte d’entité que je ne connais pas… une sorte de… fantôme qui empêcherait notre amour de s’exprimer… Tu ne le sens pas ?
    — Si… mais je sais pas quoi faire…
    — C’est très simple, ce qu’il faut que tu fasses… Aime-la… Qu’est-ce qui t’en empêche… Si c’était moi, alors c’est réglé, parce que je te dis que tu peux le faire… Enlève-la d’entre nous et mets-la à côté, c’est aussi simple que ...
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