1. Jennifer


    Datte: 27/11/2019, Catégories: fh, ff, fbi, jeunes, copains, grosseins, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe

    ... savais qu’il allait m’abandonner, dans quelques instants.
    
    Déjà, je sentais les soubresauts de sa bite, dans la cavité qui trayait encore un peu plus de lui. J’en étais désespérée, parce que j’aurais voulu le garder pour toujours en moi, là, au fond de ma bouche, là où l’on fait siens tous les éléments qu’on ingère.
    
    Il s’est rendu à mes arguments et c’était énorme, tout ce qu’il m’a donné. C’était tout ce que mon amour avait tiré de lui. Mais c’était trop peu, en même temps. J’ai tout avalé parce que jamais je ne laisserai perdre une seule goutte de son précieux jus. Son visage reflétant l’extase la plus pure, jamais je ne l’avais lâché du regard. M’eussiez-vous crevé les yeux que je l’aurais regardé quand même.
    
    Il s’est montré très fort, dans son abandon, parce que presque aucun son n’est sorti de sa bouche. Il a gémi entre ses dents serrées, a fermé les yeux, et c’est comme ça qu’il a joui, en tremblant, le corps arqué contre ma bouche.
    
    Après que Luc eut récupéré, il m’a embrassée en me traitant de folle. Je lui ai répondu d’un sourire et j’ai refermé la porte sur lui. Il valait mieux que je le fasse vite, parce que sinon, jamais j’allais y arriver.
    
    Je me suis retrouvée seule… toute seule !
    
    Le son du coup que j’avais donné à Florence, ainsi que l’image de celle-ci tenant sa joue, sont revenus hanter mon esprit. L’avaient-ils jamais quitté ? Je n’en suis pas sûre.
    
    Maintenant, je comprenais pourquoi mon amie ne pouvait pas me parler de son problème… ...
    ... parce que son problème, c’était moi !
    
    Le lendemain, j’ai eu peur de la croiser, et qu’elle me dise des mots qui m’auraient fait mal. J’ai attendu qu’elle se cloître dans sa chambre après son petit-déjeuner et j’ai fui… sans prendre le mien, sans même me doucher, tant j’avais peur. Arrivée au bar, je me suis rendu compte que je ne savais pas comment signaler ma présence à Luc. J’ai tapé de mon poing, doucement d’abord, puis de plus en plus fort. Personne n’a répondu. Je ne savais même pas où il habitait. Est-ce que les volets au-dessus de la porte appartenaient au bar ? Je n’en étais pas sûre.
    
    J’avais besoin de le voir, et les larmes silencieuses qui coulaient de mes yeux traduisaient un désespoir qui commençait à grandir en moi. Je me suis mise à chercher un petit caillou, en me disant que ça ne coûtait rien d’essayer, mais allez trouver ça sur le trottoir ou la rue d’une ville. J’ai fouillé dans une poubelle, y ai trouvé une boîte de soda que je m’apprêtais à lancer sur les volets quand la serrure de la porte a fait du bruit.
    
    La porte s’est ouverte sur Geneviève qui regardait derrière elle. Je me suis jetée dans ses bras et j’ai fondu en larmes. À travers mes pleurs, j’ai entendu :
    
    — Mais… qu… qui êtes… Jennifer… c’est toi ?
    — Oui…
    
    C’est tout ce que j’ai pu dire. J’ai senti ses bras m’étreindre, ses mains se poser sur moi et me caresser le dos, les cheveux, tandis qu’elle me murmurait :
    
    — Chut… chut… ma chérie, calme-toi, je t’en prie…
    
    Mais je n’y arrivais ...
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