1. Tout ça pour une chambre !


    Datte: 27/11/2019, Catégories: fh, vacances, amour, miroir, BDSM / Fétichisme Oral 69, pénétratio, Auteur: Poterne, Source: Revebebe

    ... vous l’accorde. Mais bon, Géraldine est super bien foutue, et c’est toujours elle qui me cherche quand elle vient à Paris faire ses courses ou voir ses copines. Donc ce n’est pas trop ma faute. Enfin…
    
    Elle se colle contre moi. Elle est pratiquement nue. Je sens ses seins s’écraser contre mon dos tandis que sa main glisse dans mon caleçon. La chair est faible… je sens le désir envahir mon bas-ventre.
    
    — Géraldine, tu es folle ! On va se faire gauler, Erwan va me tuer et mon père me déshériter !
    — En France, un père ne peut pas déshériter son fils ; personne ne monte ici. On ne va pas faire de bruit.
    
    Je me retourne vers elle, écarte ses cheveux et l’embrasse goulûment. Ma main glisse le long de son ventre et s’introduit dans sa culotte. J’écarte la légère toison de son pubis et introduis mon doigt dans son sexe déjà humide. Elle se hisse au-dessus de moi, se retourne et me prend goulûment dans sa bouche. Allongé entre ses jambes, je mate son entrejambe encore caché par son slip. J’écarte le mince tissu en dentelle et l’attire sur mon visage pour goûter au fruit défendu.
    
    Quelques instants plus tard je suis au bord de la jouissance, mais elle se relève ! Les pieds toujours de chaque côté de mon corps elle s’avance, attrape mon sexe et, accroupie, s’empale lentement sur moi. J’observe les muscles de son dos jouer sous sa peau tandis que vers la gauche je découvre son image dans le miroir de l’armoire. La tête penchée vers le bas, elle regarde mon pénis coulisser ...
    ... dans son sexe. Cette position lubrique me provoque des ondes de désir. Je place mes mains sous ses fesses pour l’aider dans ses va-et-vient. Fatiguée, elle se retire et se met à genoux ; je m’installe derrière elle et la pénètre à nouveau. Elle relève son dos contre ma poitrine tandis que j’emprisonne ses seins avec mes mains, et nous restons dans cette position jusqu’à l’orgasme au milieu de soupirs silencieux.
    
    Elle s’écroule et se colle contre moi.
    
    — Avec ta fiancée, c’est toujours aussi bien ? Comment s’appelle-t-elle, déjà ?
    — Colombe.
    — J’ai hâte de la voir ; elle doit être pas mal pour te mettre le grappin dessus !
    
    En fait, je ne sais rien d’elle. Espérons qu’elle ne soit pas trop mal pour que ce soit crédible ! Géraldine attrape ma main et la place entre ses jambes. Tout d’un coup on entend du bruit : quelqu’un monte les escaliers ! Je pousse Géraldine avec mes pieds ; elle se jette sous le lit tandis que je me précipite vers la porte. Je l’ouvre doucement et découvre la tête poilue d’Oscar, notre vieil épagneul ! Je me baisse, le caresse en lui susurrant :
    
    — Salut, Oscar. T’es monté tout seul ? T’es trop vieux pour monter ces marches, c’est dangereux !
    
    Entre-temps, Géraldine s’est rhabillée et me chuchote à l’oreille :
    
    — Je descends. Toi, tu gardes le chien : il peut pas descendre tout seul et on risque de faire du bruit.
    
    Elle m’embrasse sur la bouche et descend les marches avec précaution. Oscar regarde autour de lui et se précipite dans mon ...
«1234...10»