1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (3)


    Datte: 26/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... était sur moi se releva. La main du nain empoigna mon zob pour le maintenir bien droit et la femme, lui obéissant fin se planter le cul dessus. C’était plus étroit mais mon vit entra dans le trou de balle. La femme soufflait fort mais ne prononçait aucune parole. Elle s’allongea sur moi.
    
    — Allez, toi, vas-y pénètre là !
    
    Les cuisses poilues de l’homme frottèrent contre les miennes que j’écartai davantage pour lui laisser la place. Je sentis son gland contre mes couilles pendant qu’il cherchait la vulve. Puis il entra dans les chairs et j’éprouvai la pression de son nœud contre le mien derrière la paroi.
    
    Le poids de la femme me paralysait, je ne faisais plus aucun mouvement. Seul le type s’agitant dans la chatte donnait du rythme à notre association.
    
    À côté, sur le canapé, le râlement des mecs et les gémissements de l’autre femme, montraient que la scène se répétait.
    
    Le mec qui était au bout de la pine qui s’agitait dans le vagin se mit à gueuler.
    
    — Putain c’est bon d’avoir une bonne chatte bien remplie là. Avec la queue de l’autre côté, c’est géant ! Je surkiffe.
    
    C’était la voix de Maxime, il n’y a avait pas à douter.
    
    Dans mon esprit, le fait de baiser sa propre mère ne ...
    ... faisait toujours pas son chemin. La cagoule sur la tête en faisait toujours quelque chose de virtuel, même si j’étais sûr, depuis qu’on me l’avait mise que ma mère avait déjà sucé mon pénis et l’avait enfoncé dans son sexe. Néanmoins, comme je me refusais encore à croire que cet acte incestueux fût possible bien qu’il ait eu lieu certainement, je ne pouvais m’imaginer que Maxime dise cela de sa mère pendant qu’il la sautait... en conséquence, je n’y tiens plus. S’il ne sautait pas sa mère c’était donc la mienne et j’étais dans son cul !
    
    Donc, avec un mouvement d’hésitation, je dirigeai mes mains vers la fille. Je tombai presque immédiatement sur les seins.
    
    Les tétons étaient dardés, les chairs fermes mais les nibards me parurent petits. Ce ne devait donc pas être maman... mais il fallait que j’en aie le cœur net.
    
    Je mis donc les mais à la cagoule.
    
    — Oh là, oh là ! On t’a pas dit de l’enlever...
    
    J’hésitais.
    
    — Je crois qu’il est prêt maintenant !
    
    Sur ce commentaire de Grégoire qui s’imposait décidément comme le maître de cérémonie, on me laissa faire. J’aperçus d’abord le visage de Maxime qui grimaçait au-dessus de moi en continuant de bourrer comme un fou dans la chatte....
    
    À suivre 
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