1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (3)


    Datte: 26/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... tombais de haut ! Comme beaucoup d’enfants, je n’imaginais pas que mes parents pussent avoir une vie sexuelle, même normale... alors là !
    
    Tous les types s’étaient écartés, exhibant fièrement leur virilité triomphante et l’entretenant au besoin par un bon coup de main, et les deux femmes, toujours à genoux sur le canapé, ouvraient chacune la bouche prête pour la tétée.
    
    Voir ma mère, la croupe tendue vers le ciel, les seins écrasés contre le canapé et lorgnant sans pudeur vers mon sexe pour le gober, cela me donna un haut-le-cœur et je battis en retraite en explosant de rage.
    
    Ma colère fut homérique. Je les incendiai de bêtise, les traitant de tous les noms, les accusant de la pire des perversités, d’être une bande de dégénérés ! Comment ! Les mères, ma mère, étaient-elles à ce point perverties qu’elles s’offraient à plusieurs hommes sous le nez de leurs maris!... et les fils ? Comment pouvaient-ils s’accoupler avec leur mère ? N’avaient-ils aucun amour filial?, Et les mères, étaient-elles dénaturées au point de se laisser prendre par leur fils ? Et les maris, comment pouvaient-ils inciter leurs femmes et leurs enfants à une telle perversion ?
    
    Tous, je les vomissais, je les conchiais, je les maudissais, je les reniais ! J’allais me casser d’ici et ils n’allaient plus jamais me revoir ! Je disais cela la rage aux lèvres et les larmes aux yeux.
    
    Quand j’eus fini ma diatribe, il se fit un long silence gêné. Les femmes avaient baissé le regard et tout le monde ...
    ... débandait. Je sentais la culpabilité les mettre en doute...
    
    C’était sans compter sur Grégoire.
    
    — Putain, il nous fait chier le p’tit con. C’est là dix minutes à mater la partouze en se pignolant le poireau et ça vient faire des leçons de morale ? Tu t’es pourtant bien secoué la nouille en voyant ta mère se faire grimper par tout le monde ? Monsieur fait le dégoûté, on fait sa chochotte, on a des grands principes ? J’vais t’l’affranchir la Sainte-nitouche, moi! tu vas voir s’il va nous gâcher la fête le branleur et si son zguègue va rester en berne... Aller, messieurs, apporter la cagoule. On va lui faire perdre son pucelage au p’tit prétentieux, au gardien de la morale... Tu vas juter mon coco, et pas qu’une fois en plus !
    
    Et il m’infligea un violent coup sur les fesses pendant que les autres mecs me ceinturaient. Je ne pus me débattre. On acheva de me déshabiller. On me lia les mains. On me passa une cagoule en latex où il n’y avait que l’orifice prévu pour la bouche et les narines. J’étais aveugle.
    
    — Aller, sucez-le, et toi mon joli devine si c’est ta mère ou Lucie... deux sacrées bonnes suceuses. Tu vas voir comme elles aiment la bite. T’es surpris de nous voir là ? Tu crois qu’on les a forcées? Mais tout vient d’elles ! C’est deux foutues salopes. Elles aiment la bite les deux chiennasses, tu vas voir.
    
    J’attendais un démenti au lieu de quoi une bouche avala ma queue. J’étais tétanisé. Pourvu que ce ne soit pas maman...
    
    La femme était habile, en quelques coups ...