1. Hélène (38)


    Datte: 20/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: rouge22, Source: Xstory

    ... matin.
    
    Toute la semaine, j’ai joué l’indifférence, avec cruauté. Par exemple, je sortais nue de la douche, encore mouillée, il s’approchait avec la serviette et je le repoussais avec un...
    
    — Je peux me débrouiller seule...
    
    
    
    Ou alors, je me laissais essuyer, et quand il approchait de mes poupoutes, ou d’une autre zone stratégique, j’envoyais un ...
    
    — Pas touche, minouche, sinon gare à tes couches !
    
    Sans compter toutes les fois où j’ai monté l’escalier devant lui en soutien-gorge, bas, porte-jarretelles, et petite culotte. Ou mieux encore, sans culotte !
    
    J’ai dû l’amener à deux doigts de l’AVC.
    
    Mais, je ne suis pas si cruelle. Alors, le samedi suivant, dans le lit, j’ai collé mon cul contre son ventre.
    
    — Tu ne me fais plus la gueule.
    
    — Je te fais toujours la tête, mais j’ai froid aux fesses. Et je n’ai pas à être punie pour ton inconséquence. Et j’ajoute.
    
    — Mets ta main sur mon sein, s’il te plaît.
    
    Il m’obéit et je me pelotonne avec bonheur contre lui. Juste avant de m’endormir, je lui murmure...
    
    — Tu es pardonné, mon amour, dors bien, et à demain...
    
    Ce dimanche, c’est son absence dans le lit qui me réveille. Il y a longtemps que je n’ai plus peur d’avoir été abandonnée. Mon amant est un lève-tôt, et il est déjà en train de préparer le petit-déjeuner pour me le servir au lit. Ce matin, il n’aura pas le temps...
    
    Je me lève, nue, je n’enfile pas mes mules et je descends l’escalier, silencieuse comme une chatte.
    
    Il est en train de ...
    ... préparer le plateau dans la cuisine, il me tourne le dos, en chemise ouverte et boxer. En silence, je me colle à lui.
    
    — Mais...
    
    — Laisse-toi faire.
    
    Je remonte sa chemise pour coller ma poitrine contre sa peau. Je pose ma main gauche sur son ventre, ma droite glisse de ses abdominaux dans son caleçon. Je saisis sa verge.
    
    Nos deux corps sont enlacés dans un baiser charnel.
    
    Dans ma paume, le vit de mon amant grossit. Sous mes doigts, je sens la pulsation de son artère. Il est temps que je prenne mon petit-déjeuner.
    
    — Tourne-toi. Fais-je en relâchant mon étreinte et en m’agenouillant.
    
    Il pivote. D’une main, je caresse son petit bedon, sous lequel je sens la tension de ses muscles, de l’autre je fais glisser son slip jusqu’à ses chevilles.
    
    Son membre me saute au visage.
    
    Mon chéri est un bel homme. Vous pourriez me dire que je n’ai pas beaucoup d’éléments de comparaison. En fait, si je fais le compte, je n’ai eu que cinq ou six amants, en comptant mon mari, les complices auxquels Pierre m’a livré, et cet imbécile de représentant.
    
    Mais j’ai fait quelques petits tours sur internet, et j’ai pu constater que je suis assez bien lotie. Ce n’est pas Rocco Siffredi, mais il est quand même dans la moyenne haute. Et puis il sait bien s’en servir.
    
    Il se dresse, en pleine majesté, à l’horizontale. Je l’embouche et je le tire à moi en plaquant mes mains sur ses fesses dures et musclées.
    
    J’apprécie la fellation, parce que je suis la maîtresse du jeu. C’est moi ...
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