1. Un dépannage avec un excellent service


    Datte: 24/11/2019, Catégories: fhh, hplusag, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, occasion, couple+h, Auteur: Haoma, Source: Revebebe

    ... recouvrir complètement la grosse fraise dont j’attends l’écoulement du suc. Mon bel éphèbe soulève ses reins pour tenter de glisser le fruit écarlate entre mes lèvres. Mais, souriante, je retarde encore, abaissant fermement le prépuce. Ma patience est récompensée ; une première petite coulée de suc clair s’échappe du méat, glisse sur le frein. Comprimant légèrement le gland, une seconde vient, lubrifiant davantage le frein et déferle lentement le long du membre. Alors ma langue entreprend d’abord quelques caresses sur les bijoux de mon heureux supplicié pour, ensuite remonter le long de la hampe et savourer cette liqueur, prélude à la jouissance, que j’apprécie bien plus que l’ultime. Laurent gémit, soulève davantage ses reins. Il veut que je l’enfourne. Pierre me regarde, son membre ruisselant du même suc. Je vais, là aussi, me délecter.
    
    Revenant à Laurent, j’absorbe son gland, ma tête commençant de lents va-et-vient tandis que d’une main je le masturbe. Mon bienheureux s’agite et me supplie. Je sens la fin proche de son tourment. Quand il m’en avertit, mes lèvres l’enveloppent à mi-gland et ma main entreprend un très lent mais ferme massage de sa tige. Je viens de reprendre mon souffle quand, soudain, mon palais est tapissé de trois ou quatre jets d’un fluide abondant, chaud et onctueux. Je suis très étonnée de cette vive propulsion ! J’avais oublié cette force d’éjaculation de la jeunesse. Je déglutis cette sève juvénile.
    
    — Tu as délicieusement déchargé mes ...
    ... batteries, ma belle Jeanine me soupire Laurent.
    — Mais il reste encore un peu de jus, mon amour !
    
    Et ne voulant rien perdre, je prends dans ma bouche le membre déjà flaccide pour lécher les dernières gouttes de cet élixir d’amour.
    
    Mon mari assiste à la scène et bande. Son gland ruisselant trouve asile entre mes lèvres. Je suce avidement mon cher époux, pour mon plaisir, certes, mais surtout pour le remercier de son immense compréhension. Grâce à lui, ce rapport voluptueux avec un si jeune amant me fait redécouvrir toute ma sensualité. Je me promets que tous les deux nous en profiterons à satiété. Pierre n’est pas long. Il me coule son plaisir épais et chaud que je bois avec une incommensurable délectation.
    
    Le pénis est déjà recroquevillé et, comme pour se cacher, honteux, le gland a disparu sous le prépuce. Quel émouvant contraste avec la fière queue, bien bandée ! Une sécrétion exsude encore, épaisse, légèrement teintée de jaune semblable au lait concentré sortant de son tube. Je l’absorbe avec tendresse et de ma langue gourmande, complète la toilette.
    
    2 h 40 ! Laurent est habillé. Avant qu’il ne franchisse la porte, je vais à sa rencontre, vêtue de mon seul peignoir. Mon mari a ce mot :
    
    — Tu reviens quand tu veux Laurent ! Tu seras accueilli bras ouverts !
    
    Je murmure à l’oreille de Laurent : « Pas que les bras ouverts, mon chéri ! »
    
    Il me prend par la taille, me plaque contre lui et nos lèvres se joignent ; ses mains, sous mon peignoir, palpent ma croupe, son ...
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