1. Un dépannage avec un excellent service


    Datte: 24/11/2019, Catégories: fhh, hplusag, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, occasion, couple+h, Auteur: Haoma, Source: Revebebe

    À Montréal, ce jeudi 14 janvier 1999 est le quatrième jour de neige et de grand froid. Dans la nuit le thermomètre est descendu à moins 30 ° centigrades et, avec le facteur vent, la météo annonce moins 50 ! Ce matin, nombre de voitures n’ont pu démarrer et le C. A. A. (Club des Automobilistes Associés) a répondu à plus de dix mille appels pour dépannage. Nous sommes du lot. Mon mari ayant téléphoné vers 9 heures, on lui a répondu qu’il devrait attendre la fin de la journée.
    
    Souper, télévision, puis las d’attendre, vers 22 h nous décidons d’aller dormir.
    
    Alors qu’une douce torpeur m’envahit, le téléphone sonne :
    
    — Bonsoir madame ! C’est votre dépanneur. Vous avez demandé un booster (survoltage) pour votre voiture ?
    — Oui, mais…
    — Je passe dans vingt minutes, madame.
    — D’accord, dans vingt minutes.
    — Entendu madame !
    
    Une demi-heure plus tard, coup de sonnette ; mon mari descend. Je passe un peignoir blanc en ratine par-dessus ma longue chemise de nuit bleu pâle. Après un brossage de cheveux et une retouche du visage, je vais à la fenêtre du salon (nous n’avons pas de volets au Canada, car il serait impossible de les fermer ou de les ouvrir à cause de la glace) regarder les deux hommes se débattre dans la tourmente glaciale. Il est 23 h.
    
    Des pas dans l’escalier ; bruit de conversation. Mon mari n’est donc pas seul ? Peut-être avec le dépanneur ? La porte s’ouvre et, en effet, les deux hommes sont là, se débarrassant des bottes et des combinaisons arctiques ...
    ... qu’ils laissent sur le palier. Je vais au-devant d’eux.
    
    — Jeanine, je te présente Laurent. Mais je sens que tu as préparé un café ; c’est bien, car nous avons besoin de nous réchauffer.
    — Bonsoir madame !
    
    Le timbre de voix agréable, le jeune homme, pas la trentaine, est grand comme mon mari, un mètre quatre-vingt, mais plus charpenté. Visage agréable, les yeux très noirs, comme les cheveux, et le sourire charmeur découvrant une belle dentition. Je saisis la main tendue, aux ongles très ras. Ce faisant, le haut de mon peignoir s’ouvre généreusement et rien n’échappe au regard de Laurent. Je souris, lui laissant, par la transparence de ma chemise, tout le loisir d’admirer le paysage. Mon mari a remarqué la scène, me sourit et approuve d’un petit clin d’œil. Qu’est-ce qui me prend alors de croire que je plais, moi une sexagénaire, à un si jeune et si charmant garçon ?
    
    — Voulez-vous un café Laurent ? Pierre ?
    — Oui madame, bien volontiers !
    
    Puisque mon mari semble d’accord, je joue le grand jeu. Prenant la cafetière sur la cuisinière, donc le dos tourné à mes hommes, je dénoue discrètement ma ceinture. Puis je sers le café à Pierre. Un bref regard vers Laurent, à droite de mon mari, me permet de constater qu’il épie mes moindres gestes. Versant très lentement le café, je me penche en avant afin d’offrir à notre visiteur, grâce à la profonde échancrure de ma chemise, la vision de mes appas dénudés. Je passe ensuite à la droite de Laurent et lui renouvelle mon offrande. ...
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