1. Simon, petit paysan soumis


    Datte: 21/11/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Lesbottes, Source: Hds

    ... mon menton, me releva la tête et m’embrassa. C’était la première fois. Je n’avais jamais embrassé ou été embrassé. Sa langue me pénétra la bouche et s’enfonca en moi. Je me laissais faire je découvrais et je prenais du plaisir à cela.
    
    « J’étais sûr que t’aimais la bite, tu vas me sucer ! ». J’intégrais l’information doucement, je sentais que je me relâchais. Je sentais à présent sa pression amicale sur mon épaule qui m’accompagnait pour me mettre à genoux. Il me présenta son sexe que je pris dans ma bouche sans savoir vraiment…mais j’en avais tellement envie. Il commença un mouvement de va et vient tout en me tenant la tête avec sa main droite. Avec la gauche il s’appuyait sur la roue de mon tracteur. Je le laissais faire et j’essayais de réaliser ce qui se passait. C’était un rêve. Son sexe me remplissait la bouche. Il s’enfonçait jusqu’à la garde et ressortait mais tout en laissant toujours son gland à l’intérieur. Je me laissais faire. Il commença à grogner un peu, plus vite, plus fort, plus aigu et soudain se cambra et s’enfonça dans ma bouche tout me tenant. Il jouissait. Me traitait de salope et de petite pédale qui aimait ça (et oui j’aimais ça). Il lâcha un dernier râle une fois qu’il eut terminé et me libéra.
    
    « Putain ça fait du bien ! ça t’a plu hein ? Je crois que le père XX il imagine pas que son rejeton n’aime pas tant la ferme que les fermiers… je me trompe ? »
    
    J’étais toujours à genoux tête baissée à réaliser que je venais de sucer Roger et d’avaler ...
    ... son sperme. J’étais à la fois hyper excité et complétement détendu. Je relevais la tête en souriant je crois et je lui confirmais sa sentence d’un regard. Il me regardait sa bite était à la hauteur de mon visage, elle sentait le sperme. Je me rapprochais et prenait à nouveau son gland dans la bouche, timidement comme pour dire « oui j’étais d’accord et ça m’a plu » et pour faire durer le plaisir.
    
    « Branle toi cela va te faire du bien ». Roger se laissait faire. « Défait ta combi et branle toi ».
    
    Je m’écartais et me relevais. Je n’avais qu’à obéir et cela me plaisait bien ! Je fis glisser les deux fermetures. Roger pris ma combi aux épaules et la baissa d’un geste rapide. « Enlève là et garde tes bottes et ton T shirt. Rentre là ». D’un geste il m’indiqua la grange. « Je veux te voir jouir ». Je n’en demandais pas tant et je sentais que cela serait rapide. Quand je passais devant lui il me claqua les fesses. T’as un bon gros cul ! C’est vrai que j’étais plutôt rond, mes 85 kg pour mon mètre soixante-quinze me donnait un côté joufflu ventru qui me complexait un peu. « J’aime bien les gros culs tout lisse… et les petits morveux qui m’obéissent bien ».
    
    J’adorais la sensation que me procurait sa voix les ordres qu’il me donnait. Je ne répondais rien, je n’avais qu’à faire ce qu’il me disait…. J’étais libéré de toutes mes craintes. C’est lui qui m’imposait tout cela, ce n’était donc plus moi… je n’étais plus le petit paysan pervers qui se cachait dans sa grange. J’étais à ...