1. Simon, petit paysan soumis


    Datte: 21/11/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Lesbottes, Source: Hds

    Simon, le petit paysan soumis
    
    Le premier lait
    
    Depuis tout petit je savais. J’ai toujours aimé porté des bottes en caoutchouc. Cela a toujours été une évidence. A la ferme ce n’était pas très compliqué de passer mon plaisir inaperçu. Quand j’ai eu 13 ans, mon plaisir à les porter n’a fait que se renforcer et mes premières caresses solitaires me le confirmèrent ! J’aimais me branler dans l’écurie, dans le fenil ou sur les tracteurs et mes bottes aux pieds. Et il n’y avait pas que me bottes qui me procuraient de l’excitation, voir mon père ses collègues ou l’inséminateur en bottes me procurait toujours des érections immédiates et puissantes. Vertes ou noires surtout quand elles étaient portées par un paysan avec sa combi et je n’y tenais plus…
    
    Je sentais bien que les garçons m’attiraient irrésistiblement et que c’était mal… en tout cas chez moi. Fils de paysan et pédé ce n’était pas trop compatible. Mais vivre à la ferme était cependant la couverture parfaite pour cacher mes fantasmes. Mais de là à les vivre c’était impossible. Je me rêvais à l’écurie, mais pas tant comme paysan, je m’imaginais attaché avec une bride comme nos vaches, à 4 pattes et en bottes prêt à être trait …ou inséminé. Dès que je le pouvais j’y allais, me mettais à 4 pattes, je sortais ma bite de ma combinaison et je m’astiquais jusqu’à ce que je jouisse dans la paille fraiche.
    
    Un soir me père me demanda, d’aller chez Roger chercher la remorque qu’il lui avait prêtée. Roger était le père de mon ...
    ... copain Laurent avec qui on trainait depuis tout petit. Roger avait une ferme à quelques kilomètres de la nôtre isolée aussi dans les collines de la Drôme. Roger avait la quarantaine et depuis que sa femme était partie il picolait un peu avec le vieux garçon du village, Etienne, mais c’était un bon gars. Quand j’arrivais chez lui en fin d’après-midi, il avait déjà visiblement attaqué l’apéro. « Salut Simon, Laurent est chez sa mère ! me dit il en préambule, il s’est trouvé une bergère en plus tu penses qu’il a mieux à faire que de me donner un coup de main ».
    
    « Je suis venu pour la remorque, j’ai pris le McCormick pour la ramener».
    
    « Ah oui la remorque. Viens, elle est vers l’écurie ».
    
    Roger était en tenue comme toujours, sa combi verte à double fermeture éclair, ses bottes noirs, toujours des Dunlop. Toujours. Plus d’une fois je m’étais branlé en pensant à Roger. Son côté frustre, son bide, ses cheveux toujours ras, ses bottes noires, … j’avais honte, c’était le père de mon pote mais je n’y pouvais rien. Je m’imaginais toujours qu’il m’obligeait à lui faire des choses….
    
    Petit je venais souvent dormir chez eux mais en grandissant et après le départ de Christine, ça ne s’était plus fait et je crois que j’aurais eu trop peur que mon attirance se voit et que Laurent le devine. Il y avait peu de risque pourtant. Laurent adorait le cul. Dès qu’il avait commencé à se branler j’avais été le premier informé et il se branlait sans arrêt si bien qu’il n’était pas rare que ...
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