1. De gentils voisins


    Datte: 21/11/2019, Catégories: fh, ff, hh, ffh, 2couples, grp, couplus, voisins, forêt, jardin, parking, caférestau, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, échange, Partouze / Groupe Auteur: A.B. Pineau, Source: Revebebe

    ... croupe, et la tête entre ses cuisses, lui fait « feuille de rose », lui poussant sa langue et le glaçon dans le petit trou. Elle n’en peut plus, se tortille en protestant comme un diable dans un bénitier mais ne peut se défaire de son étreinte. Il ne s’arrête que quand le glaçon est fondu et ensemble ils rient du vilain tour qu’il vient de lui jouer.
    
    — Je t’ai bien eue !
    — Chameau ! La vengeance sera terrible !
    — J’espère bien !
    — Jure-le !
    — Quoi ?
    — Que tu espères bien que la vengeance soit terrible ! Et que tu l’acceptes d’avance !
    — Jurer ?
    — Oui !
    
    Jacques est perplexe… Avec Magali, on ne sait jamais, c’est peut-être prendre un lourd engagement.
    
    — Ce sera sexuel ? dit-il.
    — Oui ! Bien sûr ! Je trouverai bien quelque chose ! J’attendrai mon heure ! Dix ans s’il le faut !
    — Pas sado-masochiste, tout de même !
    — Bon, alors pas sado-maso, mais sexuel, marché conclu ?
    — Soit, je jure ! À la grâce de Dieu, on verra bien !
    — Et d’accepter quoi que ce soit ?
    
    Il rit.
    
    — Oui ! Voilà ! Tu es contente ?
    
    Il revient l’embrasser tendrement, puis la bouche encore un peu froide, redescend doucement. Il la lèche avec passion, titille le clitoris, les lèvres jusqu’à ce qu’ils se réchauffent ensemble. Alors elle sent remonter son désir, son ventre se contracte à nouveau et l’orgasme la submerge comme une vague. Elle n’en peut plus et crie son plaisir, plus fort encore que sous la douche.
    
    — Ooooh ! Jacques ! Ooooooh ! Ouiiiiii ! Oh ! Arrête ! Arrête ! Je n’en ...
    ... peux plus ! C’est trop ! Ooooh ! Je mouille ! Je mouille !
    
    Alors sa bouche se fait toute tendre et il la caresse avec douceur pour la calmer. Il remonte sur son ventre, ses seins, son cou, la couvrant de mille petits baisers, jusqu’à son visage et se fait câlin. Il l’embrasse doucement et leurs langues se caressent avec bonheur. Elle sent son membre raide sur son ventre mais il ne la pénètre pas encore.
    
    — Tu as aimé ?
    — Oh !… Oui, tu es merveilleux. Quel orgasme ! Je suis toute mouillée !
    
    Il la cajole et la possède enfin très simplement. Elle s’offre à lui, cherchant de son pubis et de ses mains à se mettre elle-même son sexe érigé. Il le lui bourre, bien à fond, méthodiquement, posément, langoureusement, entièrement et elle gémit de plaisir sous chaque poussée, contracte les muscles de son vagin pour le recevoir et le pomper. Ses allers et retours sont réguliers et à chaque retrait il ressort presque, à chaque pénétration il va bien à fond, plus loin, plus fort. Et le ventre de Magali à chaque fois regrette ce retrait et désire la pénétration suivante. Elle est brûlante, enfiévrée et se consume de passion. Ses seins sont durs, leurs bouts tendus sous la bouche aimante et gourmande de Jacques qui les mordille, les titille, les suce, les mange sans répit. Elle ferme les yeux et la tête rejetée en arrière, chavire dans le plaisir, ivre de bonheur, longuement, passionnément, jusqu’à en perdre le souffle, à en perdre conscience.
    
    Ce troisième orgasme est différent : ...
«12...567...43»