1. De gentils voisins


    Datte: 21/11/2019, Catégories: fh, ff, hh, ffh, 2couples, grp, couplus, voisins, forêt, jardin, parking, caférestau, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, échange, Partouze / Groupe Auteur: A.B. Pineau, Source: Revebebe

    ... avec un gémissement de bonheur. Elle le sent enfin en elle, il lui remplit le ventre et elle en suffoque de plaisir. Il va-et-vient méthodiquement. Son ventre se contracte, ses seins se durcissent, elle en devient folle… Elle a envie de sentir sa semence chaude gicler au fond d’elle… Mais il se retire au grand désappointement de Magali. Il ferme l’eau, l’embrasse.
    
    — Viens, dit-il.
    
    Il l’emballe d’un grand drap de bain, l’essuie, la cajole. Elle aussi l’essuie, veut lui prendre le sexe, le branler, le lécher, le manger, le faire jouir. Mais il s’esquive.
    
    — Dans la chambre ou dans le salon ? lui demande-t-il.
    — Dans le salon, avec un whisky !
    — Deux, alors !
    
    Il la reprend dans ses bras : Jacques adore porter sa belle Magali. C’est un costaud. À l’université, il était parmi les meilleurs de l’équipe sportive et il en a gardé une masse musculaire impressionnante et une force peu commune. Il est de taille moyenne et sa carrure athlétique le fait paraître plutôt trapu et un peu lourd. Mais l’apparence est trompeuse, Jacques est agile autant que costaud. Et ses études et son goût pour la belle littérature classique ont ouvert son intelligence et son esprit : il est fin et cultivé. Il a le charme des latinos, c’est un brun aux yeux marrons. Son menton volontaire, creusé d’une charmante fossette, lui donne un air décidé. Pourtant il est plutôt réservé, quoique grand amateur des plaisirs de la vie. Jacques considère qu’il faut faire l’amour aux femmes comme on pratique un ...
    ... sport : avec méthode et efficacité. C’est pourquoi quand son excitation ou les caresses se font trop précises, il s’arrange pour les interrompre et se réserver ainsi un temps de repos. Sa technique rend parfois folle Magali, mais lui donne des orgasmes fulgurants et répétés.
    
    — Le whisky de mon amour est servi ! annonce-t-il, lui tendant le verre.
    
    Ils trinquent. Elle est à demi étendue sur la méridienne et il la contemple, si belle, la peau encore un peu moite de ses ablutions. Elle écarte impudiquement les cuisses, la vulve offerte, prête à recevoir son sexe à nouveau bandé. Leur reflet dans le miroir doré est d’un érotisme torride. Il lui caresse la hanche et elle lui tend les bras, enjôleuse et tendre. Mais le coquin en buvant une gorgée a pris dans sa bouche un petit glaçon et l’y a gardé. Il répond à son appel muet, prend place entre ses cuisses et lui embrasse un sein, jouant avec le glaçon sur son mamelon. L’effet est immédiat ! Sous la surprise et la morsure du froid, elle se raidit, se hérisse. Elle proteste à grands cris.
    
    — Traître ! Fou ! Canaille ! Au secours ! C’est froid !
    
    Il n’en a cure et promène sa bouche et le glaçon sur l’autre sein tandis que pour le jeu elle continue ses protestations véhémentes et tente de lui donner des claques sur les fesses. Elle frissonne, se tortille, se débat, crie. Il descend sur son ventre, le glaçon caresse le nombril, le bas-ventre, le pubis, frôle le clitoris, les lèvres, puis plus bas le périnée. Il lui soulève la ...
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