De gentils voisins
Datte: 21/11/2019,
Catégories:
fh,
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voisins,
forêt,
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amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
69,
échange,
Partouze / Groupe
Auteur: A.B. Pineau, Source: Revebebe
... décorés de plantes vertes. Il la dépiaute, lui ôte sa veste, déboutonne son chemisier, dégrafe sa jupe. Elle défait sa chemise, la boucle de sa ceinture, descend sa tirette, sort sa bite. Ils se couvrent de baisers, de caresses. Il défait son soutien, lui embrasse les seins et ses mamelons durcis appellent des caresses plus appuyées, plus fortes, il le sent d’instinct. Il la mordille, l’excite presque jusqu’à la douleur et elle mouille plus encore, déjà ivre de désir. Leurs mains s’affolent sur leurs sexes. Elle le branle, il lui caresse la fente, les lèvres, va à la rencontre de sa mouille, la pénètre d’un doigt, puis de deux, la violente presque et elle gémit de bonheur. Elle s’agenouille, avale son sexe, va-et-vient avec ses lèvres, titille de sa langue son gland. Mais il la relève car il la veut, il veut jouir dans son ventre, lui envoyer sa décharge de foutre, lui faire crier son plaisir. Il la quitte un instant, revient, un préservatif à la main. Ils s’arrachent vite leurs derniers vêtements.
— Attends, dit-elle, je vais te le mettre.
Elle le suce une dernière fois pour qu’il bande bien fort, pose le capuchon sur son gland et de ses mains expertes déroule le latex sur la hampe en l’étirant. Ils n’ont guère de temps et ils le savent tous les deux : le personnel va arriver, le restaurant doit ouvrir. Fébriles, ils se prennent sur le carrelage. Elle n’a cure ni de sa dureté ni de la fraîcheur de la surface. Elle écarte les cuisses et cambre le ventre, sa vulve ...
... offerte à tous ses assauts. Il la harponne, la défonce, va, vient. Elle le pompe de ses muscles pubiens à chaque intromission et elle sent monter son plaisir. Tous deux halètent, leur respiration à tous deux se fait saccadée. Il se sent venir et ne se retient pas. Ils se mordent presque tant leurs baisers sont violents. Ses seins durcis sont douloureux sous sa bouche, sous ses dents. Elle explose en un orgasme fulgurant et son cri rauque trouble le silence de la salle. Le feulement de Giorgio lui dit son plaisir et elle le sent malgré le latex décharger de longs jets au fond de son vagin. Anéantis, ils restent un moment sans réaction. Et puis, revenant à eux, un instant, ils se caressent amoureusement, délicatement et se repaissent de leur plaisir brutal, si bien partagé.
— Tu as aimé ? lui demande-t-il.
— Tu es merveilleux.
Ils s’embrassent encore et encore. On sonne. Panique !
— C’est le personnel, dit-il.
Vite, ils se rhabillent.
— Va te refaire une beauté dans les toilettes des dames et n’en bouge pas. Je viendrai te chercher dans quelques minutes.
La porte enfin s’ouvre doucement. Elle est encore plus belle après l’amour. Ses yeux brillent, son teint est un peu plus rouge qu’à l’accoutumée, sa coiffure un peu plus échevelée. Elle a volontairement laissé son chemisier un peu trop échancré pour encore lui plaire, pour encore provoquer ses caresses, sentir une ultime fois ses mains, sa bouche sur ses seins. Ils s’embrassent à nouveau passionnément et leurs ...