De gentils voisins
Datte: 21/11/2019,
Catégories:
fh,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
69,
échange,
Partouze / Groupe
Auteur: A.B. Pineau, Source: Revebebe
... corps. Elle râle de bonheur et s’effondre sur Jacques. Michel s’affaisse sur eux deux et ils restent un long moment tous trois hébétés, abrutis, épuisés, les uns sur les autres, emmêlés, inertes et ils s’assoupissent.
Sous son bandeau, elle ouvre enfin les yeux.
— Oh, c’était bon, les hommes, murmure-t-elle.
Et sa bouche cherche leurs baisers. Ils l’encadrent et la cajolent à nouveau et à nouveau sentent monter leur désir. Ils bandent comme deux taureaux puissants. Ils la reprennent, à la hussarde, rudement, sans ménagement, plusieurs fois, se disputant presque son ventre, ne laissant sa place à l’autre qu’à l’extrême limite de leur jouissance et lui font à nouveau crier son bonheur de femelle en rut. Tous deux enfin s’achèvent en se branlant sur elle, lui éjaculent sur le ventre, sur les seins et lui font de leur sperme mêlé une crème de beauté qu’ils lui étalent en la pelotant sur les seins, le ventre, la chatte. Epuisés, inanimés, tous les trois s’endorment.
Michèle en faisant ses courses est passée presque par hasard devant le restaurant du beau Giorgio. Il est là, seul. Il vient juste d’ouvrir. Il la reconnaît et lui fait un grand signe de la main. Elle lui répond d’un petit signe discret. Vite, il vient à sa rencontre, la salue, l’embrasse sur la joue.
— Bonjour, bellissima, tu es toute seule perdue dans la grande ville ? plaisante-t-il avec son inimitable et délicieux accent ensoleillé en lui prenant la taille.
— Je fais mes courses, tu vois.
— Allons, ...
... viens, je t’offre un capuccino !
— Mais je vais être en retard !
— Juste une minute ! Si ! Prego !
Amusée, elle se laisse convaincre et le suit dans le restaurant encore sombre. Il l’invite à s’asseoir et bientôt deux délicieux capuccinos mousseux, crémeux à souhait, saupoudrés de cacao, fument devant elle. Il s’assied à son côté et la complimente sur sa beauté, sur ses cheveux, sur son joli tailleur qu’elle porte avec une élégance de reine, dit-il. Elle rit. De sa bouche il effleure ses lèvres et elle ne se dérobe pas. Il lui prend alors un baiser et dans ce baiser, elle ne sait pourquoi, subitement elle lui donne ses lèvres, sa bouche, sa langue, ses seins, son ventre, son corps. Elle se donne tout entière, il l’a compris. Leur premier baiser est passionné, fougueux, enflammé.
Elle est un peu déconcertée, mais consentante, conquise, à bout de souffle, haletante. Déjà, elle mouille. Entrée sans idée préconçue, pensant simplement à un innocent badinage, elle veut pourtant tout à coup être prise, être baisée par lui comme une putain, vite, fort, là, maintenant, tout de suite. Les mains de Giorgio s’égarent sur ses seins, sur ses cuisses et elle se surprend à aimer, à désirer ses caresses, son torse musclé, ses bras noueux et à son entrejambe son sexe durci qui lui rend hommage. Elle le branle doucement à travers le tissu de son pantalon. Rapidement, il va refermer la porte à clef, la prend par le poignet et l’entraîne dans le fond du restaurant, derrière les claustras ...