De gentils voisins
Datte: 21/11/2019,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
69,
échange,
Partouze / Groupe
Auteur: A.B. Pineau, Source: Revebebe
... beaux yeux dans les siens, en se poussant tout contre Magali qui à son tour recule tout contre Michel.
— Viens t’asseoir, nous verrons cela ensemble, ajoute-t-elle en souriant.
Il s’assied aussi tout contre Michèle et pour ne pas prendre trop de place, passe un bras derrière son dos. Ils sont un peu serrés, mais cela semble plaire à chacun. La conversation reprend, mais devient purement formelle. Dans l’air, un fluide imperceptible charge l’air d’un érotisme latent. Chacun serré contre les autres sent qu’il va se passer quelque chose d’inhabituel. On trinque une fois de plus, nerveusement. Les yeux brillent. Les joues rougissent. La respiration se fait plus courte, l’humeur est joyeuse et cette joie est un peu plus bruyante, moins réservée. Les cuisses contre les cuisses se font plus chaudes, les jupes remontent un peu, d’imperceptibles mouvements appellent des caresses défendues. Les pensées sont ailleurs. Qui donc le premier va oser ?
Michel ose : il pose avec négligence sa main sur le genou de Magali : elle tressaille involontairement mais ne le repousse pas. Au contraire, elle presse un peu plus sa cuisse contre la sienne. Jacques l’imite, sous sa main, le genou de Michèle est doux et chaud, sa cuisse pressant aussi en réponse davantage la sienne, est un appel à monter plus haut. Il la regarde et risque le même amical baiser que tout à l’heure et comme tout à l’heure, elle tourne un peu la tête. Ils se font enfin un vrai baiser d’amants. Les lèvres s’ouvrent et ...
... les langues se caressent et se fouillent. Michèle gémit de bonheur et de sa poitrine elle caresse le torse musclé de Jacques, s’excitant les seins au travers de l’étoffe. Michel aussi a embrassé Magali et les deux couples sont maintenant enlacés. Vite, comme craignant un retour en arrière, les mains se font audacieuses et caressantes, cherchent les rondeurs et défont des boutons. Les deux femmes sont très belles, les dentelles ravissantes : légères et transparentes, elles sont des écrins parfaits pour les appâts des deux femmes si différentes. Michèle a assorti les siennes à la couleur de ses yeux : vert virant légèrement au turquoise. C’est un pur bonheur. Magali est en orange vif. Le contraste entre leurs peaux, laiteuse pour l’une, bronzée pour l’autre met magnifiquement les deux jolies femmes en valeur.
Les corps sont doux et chauds, appellent la folie des amants qui s’empressent. Les hommes aussi sont dépiautés, les chemises sont défaites et sur les torses nus et musclés, les mains des femmes prodiguent mille caresses, mille baisers, agaçant les petits tétons sensibles. Les gestes deviennent fébriles, les ceintures se défont, les pantalons et les jupes tombent, les hommes bandent. Magali, joueuse, se met à genoux, attrape les deux bites et leur donne à chacune un baiser, prétexte à un coup de langue expert.
— Oh ! Les deux belles ! dit-elle en riant.
Michel l’entraîne sur l’autre divan et l’y allonge. Elle lui tend les bras et il l’embrasse. Jacques se couche sur ...