1. Le dormeur du Val


    Datte: 19/03/2018, Catégories: fh, inconnu, train, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, confession, occasion, Auteur: Shen, Source: Revebebe

    ... relevai le drap pour y passer la bouteille. Il frémit. À ma grande joie, je constatai que la cible était difficile à rater : le trésor que cachait précieusement le jeune homme était à la hauteur de mes espérances. Placée à l’horizontale, ma petite bouteille de voyage se vida légèrement. Quelques chaudes gouttes vinrent humidifier la fine culotte masculine, il n’en fallait pas plus pour réussir ce machiavélique tour de magie… Instantanément, je retournai à ma couchette, simulant un profond sommeil.
    
    Dérangé par cette troublante humidité, le jeune adonis se réveilla dans la minute qui suivit. Un peu surpris, il souleva sa couverture et parut très embarrassé de constater cet improbable « accident ». Puis il jeta un regard appuyé dans ma direction.
    
    Après plusieurs secondes d’hésitation, il retira complètement le drap qui le recouvrait et abaissa d’un geste assumé son slip. Le joli petit lapin apparut enfin ! Mon dieu qu’il était réjouissant de le découvrir dans cet état de complète nudité !
    
    Mais un nouveau coup de folie traversa soudain mon esprit.
    
    — Est-ce qu’il est possible que vous remettiez votre slip ! dis-je d’un ton ferme et réprobateur.
    
    Autant vous dire que le garçon n’en menait pas large.
    
    — P… pardon ! dit-il en recouvrant maladroitement ses jambes avec le drap.
    — Non mais, ça vous prend souvent de vous déshabiller entièrement dans un train-couchette ! Vous êtes un pervers, ma parole, je vais immédiatement appeler le contrôleur ! ajoutai-je en levant ...
    ... bien haut mon index.
    — Non, s’il vous plaît, ne faites pas ça ! Je vais vous expliquer !
    — M’expliquer ? Vous profitez d’une innocente jeune fille toute seule dans un compartiment ! Il n’y a pas grand-chose à expliquer !
    — S’il vous plaît, ne parlez pas trop fort… Je vais me rhabiller, dit-il en empoignant le sous-vêtement.
    
    Tétanisé par la situation, il enfila maladroitement le slip humide. Le hasard voulut que le train traverse une gare à ce moment, ce qui me permit de voir plus à loisir le corps nu de mon nouvel ami.
    
    — Mais… dis-je en regardant l’entrecuisse du jeune homme. C’est tout mouillé !
    — Non… non, la bouteille d’eau a simplement coulé… Enfin, je crois… Je ne retrouve pas mon pantalon… Vous ne l’avez pas vu ? bredouilla-t-il.
    — Il devrait être sur vos cuisses !
    — Oui, pardon… J’étais persuadé que j’allais dormir seul… Mais où est ce foutu jean !
    — Oh, je vous en prie ! Votre pantalon n’a pas disparu comme par enchantement ! Je suis arrivée il y a quoi… dix minutes ! Je n’ai rien vu !
    
    Le stratagème fonctionnait parfaitement, même si mon cœur battait à cent à l’heure. Soudain, la contrôleuse frappa dans le compartiment.
    
    — Je vous en prie, chuchota le jeune homme, ne dites rien. Je n’ai rien fait ! Je dormais…
    — Bon… dis-je après un moment de réflexion. Couchez-vous et faites semblant de dormir ! Laissez un peu les draps traîner, ça va la distraire…
    
    L’agent débloqua la serrure après un instant d’attente.
    
    — Tout va bien, mademoiselle ?
    — Oui, ...
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