La Gobeuse 02
Datte: 17/11/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica
... stimulation intense que ça procurait, si ; c'était comme être prise entre le feu et la glace. Quand je me rapprochais trop du feu, j'étais prise de chaleur et je jouissais
La soirée finit avec moi au milieu du cercle d'hommes nus avalant un verre plein de sperme. À en juger par le volume de substance gluante, ils devaient avoir presque tous giclé deux fois, c'était comme si les cinq autres directeurs avaient été là aussi. Je me sentais épuisée après presque deux heures de sexe non-stop, et humiliée qu'ils m'aient vu jouir trois fois dans une tournante. Et puis aussi un peu malade de la quantité de sperme dans mon estomac. "Je suis sûre que le sexe ne devrait pas se passer comme ça, " me dis-je dans le taxi avant de m'endormir sur l'épaule de Reika.
Chapter 7 -- Yasuko
Pendant un peu plus d'un mois, il n'y eut pas de vrai changement. J'y pensais maintenant comme à une routine : mon travail sérieux qui était reconnu et recevait des éloges, la prostitution au déjeuner, les attouchements le lundi matin et la représentation du jeudi soir. C'était comme ça que j'envisageais ces soirées, comme si je jouais un rôle. Des fois, c'était une tournante avec les directeurs, d'autres fois je faisais un strip-tease et suçais tous les cadres, et une fois je fus déguisée en fliquette et dus me mettre à genoux pendant que tous les employés de l'étage giclaient sur moi. Cette prestation fut horriblement humiliante mais comme j'étais en uniforme, je pouvais en quelque sorte prétendre ...
... que ce n'était pas à moi que ça arrivait.
Mais en tout cas je survivais, et mon évaluation semestrielle arrivait dans moins d'un mois. Mon travail était meilleur que jamais et cette échappatoire était une bouée de sauvetage sur laquelle je pouvais m'appuyer plutôt que de me morfondre dans les dégradations que je subissais. Je consacrais l'entièreté de mes facultés mentales au travail pour me donner la montée d'endorphine me permettant d'ignorer le cauchemar qu'était devenu le reste de ma vie. Il y avait aussi des moments où j'étais libre : les déjeunés avec les autres femmes le jeudi, ou les week-ends avec Reika quand elle n'était pas d'humeur dominatrice et qu'elle ne me faisait pas regarder mes vidéos pornos.
Puis, un jeudi soir les choses furent différentes, on alla à un autre club et j'eus un pressentiment étrange. Tous les directeurs étaient là, ainsi que peut-être une vingtaine de traders, sans oublier les caméramans. Nerveusement je cherchais Reika du regard, mais elle était au bras de M. Takashita et devant mon air interrogatif se contenta d'un sourire ironique. Ma dépendance vis-à-vis d'elle était devenue vraiment malsaine, et j'étais absolument incapable de me sortir de cette relation. Elle était ma seule amie à Tokyo et j'avais besoin d'elle.
Je portais ce que Reika avait choisi pour moi : le même costume de femme d'affaires que j'avais porté pour mon premier bukkake. Je me demandais si c'était délibéré ou non. C'était difficile à dire, après avoir été ...