1. La Gobeuse 02


    Datte: 17/11/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... n'aime pas trop. Ils n'arrêtaient pas d'échanger de place toutes les deux ou trois minutes pour prolonger les choses. Mon esprit était parti dans un monde fait de rêves lucides où je pouvais ignorer ce qui m'arrivait et juste me concentrer sur la mécanique de sucer et de baiser. Puis soudainement je sentis la grosse teub de Monsieur Takashita s'enfoncer dans ma chatte. Il savait ce qu'il faisait et de derrière il s'enfonça profondément pour me remplir pleinement. Je ne pus pas m'empêcher : je jouis. Il y eut des acclamations et des applaudissements ; je venais de prouver que j'étais une vraie salope.
    
    À un moment je levais les yeux et je vis que l'on avait confié un verre à Natsuki, j'étais trop prise cette semaine pour m'en occuper. La femme mature rodait autour de nous et, à en juger par le contenu du verre, deux hommes avaient déjà éjaculé. Mais vu qu'ils étaient encore tous autour de moi, ils devaient escompter se servir deux fois de moi. J'avais appris par Reika que les directeurs avaient essayé de faire de Natsuki une gobeuse dix ans plus tôt, mais qu'elle ne pouvait s'empêcher de vomir. Je me demandais comment elle se sentait, agenouillée avec le verre dans la main. En ce moment, elle avait les yeux dans le vide.
    
    Plus tard ils me firent asseoir sur une bite d'un des hommes. Je devais me pencher en avant, mes seins s'écrasant contre son buste pendant qu'un deuxième homme me montait par-derrière par le petit trou. Je me sentais ridiculeusement écarteler. Mais la ...
    ... sensation d'être si remplie me fit jouir à nouveau, me laissant haletante contre la poitrine de mon amant. Ils devaient trouver ça très amusant, car ils voulurent tous avoir leur tour et je n'arrêtais pas de m'asseoir sur la queue d'un homme l'un après l'autre. Quand Monsieur Takashita me prit le cul, cela alla au-delà du plaisir et me fit entrer dans la douleur. J'étais sûre qu'un pénis aussi gros ne pouvait être conçu pour entrer dans mon étroit sphincter. Même si, à ce moment, il n'était plus si étroit, cela faisait tout de même sacrément mal.
    
    Plus tard, dans ce qui devait apparemment être une récompense pour avoir souffert, mon patron me plaça en "position de la grenouille" (comme il l'appela) ce qui impliquait que je m'allonge sur le dos, les jambes courbées pour que mes genoux soient proches de mes aisselles. De cette façon, ma chatte gonflée et gluante était grande ouverte, et il entreprit de me la remplir bien à fond. Sa queue cognait une de mes zones les plus sensibles et je me retrouvais soudain hors de contrôle, j'eus le plus grand orgasme de la soirée. Je giclais littéralement de plaisir (je ne le découvris toutefois que plus tard, en regardant toute la scène le dimanche après-midi).
    
    « Notre gobeuse est une vraie cochonne! Suzichan, tu aimes les grosses bites, » se moqua-t-il.
    
    "Pas dans mon cul" songeais-je, mais il avait raison : me faire bien remplir me faisait de l'effet. La douleur et me faire prendre en tournante ne me plaisait pas en soi, mais la ...
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