Une fête en Bretagne
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
copains,
vacances,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
intermast,
Oral
pénétratio,
prememois,
Auteur: Bart, Source: Revebebe
... je te dis qu’il n’y a jamais personne sur la plage à cette heure.
Pour ne pas lui donner l’occasion de protester plus, je pris les nœuds de chaque côté du maillot et les défis. Je dégageai le tissu, et ses fesses m’apparurent dans toute leur splendeur.
— Jamais vu de fesses plus belles, Sophie. Tu es une vraie playmate.
— Ehhh !!! s’exclama-t-elle, en comprenant ce que je faisais. Il ne faut pas que tu te croies tout permis !
Elle tenta de remettre son slip en place. Je repoussai ses mains.
— N’aie pas peur, laisse-toi faire, tu vas voir comme c’est agréable.
Elle maugréa un peu et reposa sa tête entre les bras. J’étais fasciné par ses fesses, rondes. Plus claires par la marque du maillot. Petites fossettes avec du duvet. Un vrai bonheur.
— Vraiment, tu as un cul d’enfer, Sophie, c’est trop beau.
Je dégageai complètement le tissu entre ses jambes, pris la crème et commençai à enduire les deux globes, je les malaxai et, à intervalles, je distinguais son petit trou, rose, absolument adorable. Maintenant que le tissu n’était plus là, son sexe, ses petites lèvres, étaient parfaitement visibles et luisaient un peu.
Était-ce l’eau de mer ou une excitation que je commençais à sentir ? « Au point où on en est, il faut que je sache », me dis-je.
J’effleurai légèrement son sexe du bout des doigts. Légère crispation des fesses, mais pas un mot. Je décidai d’être un peu plus entreprenant, en renouvelant la caresse de manière plus appuyée.
Nouvelle ...
... contraction. Elle ne disait toujours rien, mais je la sentais un peu plus tendue. Je remontai ses fesses pour mieux dégager sa vulve et je me mis à la caresser franchement. Plus de doute, elle était carrément humide, et ce n’était pas l’eau de mer. Je m’enhardis.
Elle poussa un petit cri quand, doucement, j’introduisis un doigt dans sa petite chatte. Cette fois-ci, j’entendais des petits soupirs qui n’étaient pas équivoques. Elle écarta imperceptiblement les jambes. Manière de me faciliter la tâche. Je continuai à la caresser et à la masturber, le long de son sexe et de son petit trou. Ses soupirs devenaient maintenant des petits cris.
Elle souleva sa croupe pour me permettre de mieux la branler. Je la sentais au bord de l’explosion, et moi, je ne savais pas combien de temps mon slip allait tenir. J’accélérai et soudain un long feulement. Son corps fut pris de soubresauts, elle jouissait. Je sentis mes doigts pleins de sa cyprine. Merveilleuse odeur de jeune femme. Je remontai vers sa tête en déposant de petits baisers sur son dos, sa nuque. Je cherchais sa bouche qu’elle me tendit. Nos langues se mêlèrent en un long et langoureux baiser.
— Donc, si je comprends bien, tu as aimé, lui dis-je.
— Tu es un beau salaud, tu m’as bien eue, me répondit-elle en se redressant. C’est la première fois que je me laisse faire comme ça. Ne crois pas que je suis une fille facile.
— Je n’ai jamais pensé ça une seconde, dis-je pour la rassurer.
Toute trace de gêne disparue, elle se ...