Une fête en Bretagne - Histoires de Sexe

Une fête en Bretagne

... détendre. Elle me regarda avec un air de défi, dénoua les nœuds et retira complètement son soutien-gorge.

— Voilà, tu es content ? dit-elle, en cambrant le torse de manière provocante.
— Mazette, si j’avais su que tu étais aussi bien roulée, je t’aurais draguée depuis longtemps. Allez, viens, on va se sécher un peu, et pour me faire pardonner, dis-je en lui passant les bras autour des épaules et lui faisant un petit baiser sur la joue, je vais te mettre un peu de crème pour que tu sois la plus bronzée et la plus belle.

Elle ne dit rien, mais me jeta un drôle de regard. En remontant la plage à ses côtés, j’observais du coin de l’œil ses seins bien fermes, les pointes dressées par la fraîcheur de l’eau, qui bougeaient doucement de droite à gauche, au rythme de ses pas. Je sentais le désir m’envahir. « Il va falloir que je me contrôle, sinon elle va s’en apercevoir », me dis-je.

Arrivée près des serviettes, Sophie se mit à genoux pour fouiller dans son sac. Je continuais à mater ses seins parfaits, qui, dans sa position accroupie, tombaient légèrement vers l’avant. Elle prit un tube de crème et me le tendit. Toute gêne de sa part semblait avoir disparu. Au contraire, même : elle semblait contente de me montrer son anatomie.

Elle s’allongea sur le ventre, sa tête dans son coude replié :

— Allez, masseur, fais ton office, et n’en profite pas pour me peloter.
— Bien, mademoiselle, vous allez voir, j’ai des doigts de fée, mais je ne suis pas sûr de ne pas avoir ...

... envie de vous peloter.

Je me mis à califourchon, pris un peu de crème et commençai à enduire ses épaules. Les bras sous la tête, elle fermait les yeux. Je descendis doucement vers le bas de son dos, en prenant bien soin d’enduire chaque parcelle de son corps. Je tentai une petite incursion sur le côté en effleurant ses seins, pour voir si elle réagissait. Elle ne disait rien. J’ai juste perçu un petit frémissement au moment où ma paume frôla le côté de sa poitrine.

J’arrivai maintenant au niveau de ses petites fesses bien fermes.« Il faut que je trouve une solution pour les caresser », me dis-je. « Non, pas tout de suite. Attendons un peu. » Je repris de la crème et commençai à en mettre sur les jambes, sur l’arrière des cuisses d’abord, puis l’intérieur. Elle écarta un peu ses jambes. Serait-ce pour me faciliter la tâche ? Je distinguai, à travers son maillot mouillé, la forme de son petit abricot. Cette fois-ci, j’aurais bien du mal à le cacher. Je bandais comme un fou.

— Ça va, ça te plaît ? lui demandai-je.
— Mmouais, tu ne te débrouilles pas trop mal, répondit-elle.
— Veux-tu que je te fasse laSpéciale Bronzing, lui demandai-je.
— C’est quoi ? demanda-t-elle, la tête entre ses bras.
— Eh bien, comme il n’y a personne, je te défais ta petite culotte et je t’en mets aussi sur les fesses, comme ça tu seras intégralement bronzée. Qu’est-ce que t’en penses ?
— Quand même, tu trouves pas que tu exagères un peu ?
— Mais non, tu vas voir, c’est très agréable, et puis ...