Bécassine, c'est (plutôt c'était) ma voisine
Datte: 16/11/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
voisins,
intermast,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... intérêt. Baissant les yeux, je pus constater qu’elle portait un soutif en dentelle blanche qui contenait difficilement deux jolis pigeons. Elle continuait :
— Je n’avais pas vraiment le droit de sortir le soir, et la journée j’aidais à la ferme. L’été de mes seize ans, mes parents et ceux de Jean-Pierre se sont arrangés pour que j’aille garder sa grand-mère qui attendait une place en hospice. C’est là que…
Elle s’interrompit brièvement. Le temps de rapprocher encore un peu. Nous étions franchement collés. Son mamelon s’appesantissait contre mon épaule. Ma main ne pouvait qu’atterrir sur sa cuisse. Je fus surpris par la douceur, le satiné, l’élasticité de sa peau. Elle avait sans doute plus de soixante ans. Pas mal. Sa voix s’enroua :
— Je vous raconte de ces trucs… Donc c’est là que… Il avait vingt-huit ans, plutôt beau gars, et surtout, il n’était pas paysan. Il était architecte. Il était presque de la ville. Il n’a eu aucun mal à me séduire avec ses belles paroles. Il m’a déflorée contre l’évier de la cuisine pendant que mémé dormait dans son fauteuil.
— Très romantique, ne pus-je m’empêcher d’intercaler.
L’extrémité de son index effleurait la bosse qui déformait maintenant mon pantacourt. Mes doigts, alors, s’engagèrent insidieusement dans une ascension incertaine et inconfortable. Signe encourageant, elle disjoignit ses jambes.
— Non, pas très, en effet ! Mais ça l’a jamais été. Il m’a baisée – vous avez raison, on ne peut pas appeler ça faire l’amour – ...
... comme ça tout l’été et m’a mise enceinte. Ensuite ça n’a guère été différent, sauf que nous étions mariés. Et que nous avions délaissé l’évier pour le lit conjugal.
— Mais vous preniez du plaisir ?
— J’ai cru que j’en avais, mais ça n’a pas duré. Vous vous rendez compte, Guillaume, qu’être saillie contre un évier rempli de vaisselle sale a été l’expérience la plus érotique de ma vie de femme ? Quand j’ai entendu comme Mathilde criait, j’ai compris que j’étais passée à côté.
— Il n’est jamais trop tard…
— Elle vous a demandé de l’enc…
Le mot ne sortait pas. Elle allait porter son verre à sa bouche pour se donner du courage. Je me tournai vers elle, posai ma main sur son bras et lui fis poser son verre.
— Nous ferions mieux de boire un peu d’eau, vous ne croyez pas ?
— Vous avez peur que je vous fasse honte ? Personne ne nous voit ! Rassurez-vous, dit-elle d’un ton acerbe en tenant de s’éloigner de moi.
Mes doigts s’enfoncèrent dans la peau douce de sa cuisse pour la retenir.
— Non, mais ce serait dommage que la soirée se termine en beuverie alors que nous avons sans doute mieux à faire, lui répliquai-je.
J’en profitai pour changer de main d’attaque. Je la glissai, ostensiblement, sous sa robe, pétrissant tendrement sa chair amollie par les ans. Seule réaction, ses jambes s’écartèrent un peu plus. Ce qui l’obligea à en poser une sur les miennes. Ce qui remonta très haut sa robe, m’offrant la vision d’une sage culotte en coton blanc. Elle me sourit. Ses yeux ...