Bécassine, c'est (plutôt c'était) ma voisine
Datte: 16/11/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
voisins,
intermast,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... contenance. Elle s’était tellement reprise qu’elle tenait la tête plongée dans son assiette, n’osant me regarder. Pourtant, je sentais toujours sa hanche frémir contre ma cuisse. N’y tenant plus c’est moi qui relançai :
— Alors, c’est pas top avec Jean-Pierre ?
J’ai cru qu’elle ne me répondrait pas. Enfin elle releva la tête.
— C’est le moins qu’on puisse dire. Sa clarinette (l’espace d’une seconde, je crus que c’est ainsi qu’elle appelait son outil) et sa canne à pêche l’intéressent bien plus que moi.
— Quel ballot ! Avec un petit bijou comme vous dans son lit… Si…
J’interrompis volontairement ma phrase lui laissant le loisir de combler les vides. Un peu de flatterie au passage, ça ne mangeait pas de pain et je plaçais mes pions pour une offensive improbable. Je me dis que Janine avait peut-être une idée derrière la tête… quand je dis la tête !
— Vous devriez lui dire, me répondit-elle d’un ton mi-acide, mi-provocant.
— Vous bai… pardon, vous faites encore l’amour ?
— Si on peut appeler ça faire l’amour ! Chaque fois que les poules pissent ! Quand j’entends les bonshommes qui se plaignent que leurs femmes ont toujours mal à la tête !
— J’en conclus qu’il ne vous satisfait pas. Je suppose que ça n’a pas toujours été comme ça ?
— Vous savez, Guillaume, bafouilla-t-elle en posant sa main sur mon bras, c’est le seul homme que j’ai connu.
Devant mon air éberlué, elle enchaîna :
— Je dois vraiment vous paraître la nigaude du quartier.
— Pas du tout. ...
... Simplement, en 2016, je suis étonné.
— J’ai connu Jean-Pierre, j’avais seize ans, commença-t-elle en lissant innocemment les poils de mon bras. Je n’avais jamais connu de garçon. Je venais de réussir mon bac.
— À seize ans ?
— Oui, j’étais une très bonne élève. Qu’est-ce que vous croyez ! Pour ce que ça m’a servi… Nos verres sont vides. Je vais chercher une bouteille à la cave.
La soirée s’annonçait chaude. Bécassine, aussi, avait très chaud. Elle profita de son passage à la cave pour remplacer sa tenue assez sage par une ravissante robe d’été lui arrivant à mi-cuisses, dont le décolleté révélait une poitrine plus avantageuse que ce que j’avais pensé. Déjà bien allumé, et pas seulement par le vin, je m’exclamai :
— Waouh ! Vous êtes drôlement sexy !
— J’avais vraiment trop chaud, minauda-t-elle rougissante.
Elle n’avait pas oublié de déboucher la bouteille. Elle nous servit deux doses pour adultes. Puis elle se rassit tout contre moi. L’étoffe de sa robe était si légère que j’avais l’impression d’être en contact direct avec sa peau. Sa main descendit sur ma cuisse.
— Alors, votre mari ?
— J’avais fait mes études dans une institution religieuse pour jeunes filles. Les garçons, c’était seulement dans mes rêves et dans nos discussions de dortoir.
— Vous ne sortiez pas ? Même pendant les vacances ?
— Vous n’avez pas connu mes parents !
Elle se pencha vers moi, sa main glissa vers le haut, s’arrêtant à quelques encablures de mon pénis qui commençait à marquer son ...