1. Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie ! (9)


    Datte: 16/11/2019, Catégories: Trash, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... va pas être déçue, notre petite apprentie martyre ! “
    
    Puis il regarda avec ravissement Igorz arracher le Tanga, et le soutien-gorge... l’homme foutait sa petite femme à poil...
    
    Puis il plongea son visage vers la petite chatte offerte, les cuisses étant bien écartées, et commença à lui laper le sexe, tel un clébard en rut... Marie-C ne se retint pas de gémir. Alors Vlad lui redonna un coup de knout sur les seins. Nouveau cri de Marie-C, cette fois-ci, pas de plaisir. Mais Marie-C endurait, elle savait qu’elle le méritait. Et en un sens cette souffrance lui offrit aussi un mélange de peur et d’excitation...
    
    “ Elle, toute mouillée, elle “scurva” (pute) ! “” s’écria Igorz, le visage barbouillé de cyprine.
    
    Puis Marie-C fut retournée sans ménagements et placée debout contre la table, le ventre appuyé contre la roche froide et le cul offert. Vlad lui écarta brutalement les jambes, et baissant son pantalon pénétra la jeune femme passive. Aussitôt celle-ci commença à crier de plaisir, elle incitait ses tourmenteurs à la prendre comme une chienne en chaleur, une traînée. L’argot de Marie-C n’allait pas très loin dans la vulgarité, c’était néanmoins suffisant pour étonner son mari.
    
    Marie-C fut baisée brutalement par la chatte, par les deux premiers, puis la brute Youri prit leur place. Son sexe en érection était effectivement très impressionnant. Il la pénétra d’une traite sans aucune préparation. Heureusement que Marie-C, excitée par ses deux acolytes, mouillait ...
    ... beaucoup. Elle reçut l’intromission de l’énorme braquemart avec une expression de souffrance, mais bien vite elle prit son plaisir. Vlad, pour la rappeler à la réalité de la punition, la flagella de nouveau avec le knout, laissant des zébrures rouges sur son dos.
    
    Une fois Marie-C baisée avec brutalité par les trois hommes, et copieusement fouettée, ceux-ci s’éloignèrent, en ayant pris soin de ramasser ses vêtements, et lui ayant craché dessus.
    
    Marie-C avait été traitée comme la dernière des putes, avilie, et méprisée par ces trois hommes, qui n’usèrent même pas de fins stratagèmes pour la soumettre et la corriger avec classe. Elle prit alors conscience du peu de valeur de son existence, face à de telles brutes. D’autant plus qu’ils l’abandonnèrent nue, sans vêtements en plein cœur de la forêt, sans sa Merco avec laquelle ils partirent.
    
    Ayant repris ses esprits, Marie-C se demanda bien comment elle allait rentrer au village, distant d’environ 12 kilomètres, pour rejoindre le château de ses maîtres, d’autant plus que la nuit se mettant à tomber, la température se rafraîchissait très vite. Elle se voyait déjà nue, grelottante, à moitié morte de froid dans cette campagne inhospitalière. Elle se mit à pleurer sur son cruel destin. Elle savait d’intuition que les gens du château n’allaient pas venir la chercher, et qu’elle devrait se débrouiller par ses propres moyens. Cela aussi faisait partie de sa punition !
    
    Jean-Michel Desprin-lejean regardait tout cela avec amusement. Sa ...