1. Isabelle ou une « parenthèse » dans ma vie


    Datte: 13/11/2019, Catégories: fh, extracon, alliance, fépilée, campagne, jardin, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, fdanus, fsodo, hdanus, Auteur: Tonio, Source: Revebebe

    ... avait été convenu qu’elle ne m’attende pas pour le dîner durant la semaine. Le vendredi nous finissions plus tôt pour permettre aux Européens de passer le week-end en famille. Il faisait enfin beau, après plusieurs jours de pluie, je rentrai chez elle, espérant la voir nue, je ne fus pas déçu, elle faisait sa gymnastique en musique dans le jardin.
    
    — Ah ! C’est gai de te voir si tôt. As-tu des projets pour ce soir ?
    
    J’improvisai.
    
    — Oui, nous pourrions aller au restaurant. Qu’en penses-tu ?
    — En voilà une bonne idée, j’accepte bien volontiers, cela tombe d’autant mieux que le frigo est vide et je n’avais pas trop envie de faire des courses.
    
    Je réservai une table pour neuf heures, pris une douche, je me caressai longuement la queue, sans pour autant me faire jouir.
    
    Elle portait un cœur croisé des plus suggestifs et un pantalon corsaire assez moulant, difficile de dire si elle portait un string ou simplement rien, j’optai pour le string. Le dîner se passa à merveille, je la draguais discrètement, elle semblait répondre favorablement à ma séduction, nous parlions à cœur ouvert, enfin surtout elle. En sortant du restaurant elle s’appuya sur moi et me posa un long baiser sur les lèvres, je sentais ses seins contre ma poitrine, ses tétons durs dardaient à travers le tissu, je voulus l’embrasser plus profondément mais elle se dégagea.
    
    — Merci pour ce délicieux dîner, je n’avais plus passé de soirée aussi agréable depuis longtemps.
    
    Elle passa son bras au creux ...
    ... du mien et nous marchâmes tranquillement vers la voiture ; portant un pantalon de toile, je ne pouvais pas masquer mon érection impérieuse, elle fit comme si de rien n’était, je la vis toutefois regarder en coin, elle semblait heureuse et flattée de l’hommage peu discret.
    
    Arrivé à la maison, elle me donna encore un baisé appuyé, un tout petit peu moins long et me souhaita bonne nuit. En se dégageant sa main effleura mon sexe comme si elle voulait vérifier sa rigidité.
    
    Le soleil et des bruits de vaisselle me réveillèrent, après une rapide douche je descendis les escaliers, j’avais décidé de rester nu. Elle était dans la cuisine nue, elle aussi, je me mis à bander aussitôt en la voyant, elle me regarda un instant dans les yeux, puis baissa son regard vers mon sexe turgescent, raide, rouge, réclamant des caresses.
    
    La tension était palpable, j’étais attiré de toutes mes fibres vers cette femme, vers ce corps, elle semblait pétrifiée, son regard fixé sur mes attributs sexuels. Je fis deux pas vers elle, elle se jeta dans mes bras, nos bouches étaient scellées, nos langues se cherchaient, se caressaient, s’enroulaient, je passais les mains sur son dos, ses fesses, elle ne restait pas inactive, me caressant aussi le dos et les fesses. Mon sexe était collé sur son ventre, je sentais ses tétons durs, elle frissonnait sous mes caresses, poussait des petits gémissements de joie.
    
    Je l’emmenai vers le salon et la poussai dans un fauteuil, je me laissai tomber à genoux devant ...
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