La patronne de ma mère est une cougar (8)
Datte: 13/11/2019,
Catégories:
Transexuels
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... ne trouve pas ça si désagréable et je crois même que j’étais prêt pour franchir encore des étapes. Mais quelles étapes pouvait-on encore franchir quand on était à ce point déjà dévergondé. «Avec tout ce que tu viens de vivre cette soirée, je pense qu’il serait sage que tu rentres à la maison. Déjà je pense que tu vas avoir du mal à t’endormir.»
« Viens ma chérie je vais te déshabiller, pour que tu reprennes tes vêtements de tous les jours. Il ne s’agirait pas que tu sortes ainsi dans la rue, je pense que tu te ferais au moins violer dix fois. J’imagine la tête de ta mère si elle te voyait arriver comme ça.»
Je vais vous avouer que c’est à contrecœur que j’ai quitté mes vêtements féminins, car je me trouvais très belle dedans, surtout avec cette robe longue moulante, une robe de mariée qui mettait bien mon corps en valeur. Comme à notre habitude Muriel m’a fait enfiler sa culotte toute mouillée et odorante, maintenant j’en arrivais à prendre ça comme une récompense. À chaque fois que j’allais voir Muriel, quand je revenais je me sentais un peu plus salope. Ce n’était plus elle qui réclamait un baiser quand nous nous quittions, mais moi car j’en devenais gourmand.
« Je te souhaite une bonne nuit ma petite lopette, je suis pressée te revoir.»
C’est sur ces mots que ce soir-là nous nous sommes quittés, comme elle me l’avait dit surtout le chemin du retour j’avais la tête ailleurs, je sentais encore le sexe chaud de Claude dans ma bouche.
Quand je suis rentré à la ...
... maison, ma mère m’attendait, elle est venue me faire un baiser, par contre ce n’était plus les mêmes qu’avant, j’avais l’impression d’être devenu son amant. Elle a attendu que la porte soit fermée, pour m’embrasser avec passion, j’avais peur qu’elle décèle un goût de sexe masculin dans ma bouche en échangeant ce baiser.
«Tu es encore allé voir ma chef, tu te rends compte que tu baises avec elle et ta mère par-dessus ça. En même temps je l’en remercie, car j’avais peur que tu deviennes vieux garçon.»
Ma mère avait raison. Si Muriel ne m’avait coincé lors de la soirée de fin d’année, je serais encore le puceau boutonneux qui tire sur l’élastique sous les draps le soir avant de s’endormir. En même temps aujourd’hui je continuais à me palucher le soir, mais disons que ce n’était plus des fantasmes pour me faire du bien, je me remémorais ce que je venais de vivre. Disons que maintenant, en plus avec ce que je qualifierais de support pédagogique, je me faisais du bien avec les culottes de Muriel et Christiane ma maman.
Je pense qu’en agissant ainsi j’étais en plus devenu beaucoup plus sensible aux odeurs, les effluves de minous me mettaient dans tous mes états maintenant. Je crois même que l’odeur du sexe de Claude risque d’avoir la même réaction sur moi. Pendant que ma mère me parlait, elle était en train de me déshabiller, elle caressait mon corps, j’y étais très sensible et réceptif. Je me suis rapidement retrouvé juste vêtu de la culotte de Muriel. Je ne sais pas ce qui ...