1. La patronne de ma mère est une cougar (8)


    Datte: 13/11/2019, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    Salut c’est votre folle de lycra.
    
    C’est donc sous les yeux de Muriel, que je venais de faire une fellation à son collègue Claude, alors que j’étais totalement habillé en femme. C’est son collègue qui m’avait acheté tous les vêtements, il avait l’intention de me faire toujours plus belle, et surtout de profiter de tout ce que je pouvais lui offrir. Pendant que Claude était en train de se rhabiller d’en haut, et moi de me refaire une beauté, je constatai que Muriel était en train de trafiquer son téléphone, je ne serais pas étonné qu’elle ait pris des photos de moi.
    
    « J’ai pris plein de photos de toi la bouche pleine, cela pourra toujours me servir des fois que tu ne veuilles pas faire ce que je te demande. Je pourrais toujours les envoyer à ta mère, je suis sûre qu’elle sera heureuse de découvrir que son fils en plus de porter des dessous, est une suceuse de biroutes.»
    
    Différemment présentée, Muriel avait désormais un moyen de pression pour me faire obéir, mais avait-elle vraiment besoin de ça pour que je lui sois obéissant ?
    
    « Viens voir là ma chérie, maintenant que Muriel a fini de me faire du bien, tu vas te charger de me rhabiller, me remettre mon boxer et mon pantalon. J’aimerais bien que tu me fasses aussi un gros bisou sur le bout du gland pour clore cette soirée inoubliable.»
    
    Bien évidemment je me suis exécuté, je me suis approché de Claude, cela a été plus fort que moi, en plus du baiser, il a fallu que je prenne complètement son sexe en bouche. Il n’y ...
    ... a pas à dire j’étais en train de devenir gourmand de son sexe. Je me suis donc appliqué à le rhabiller en faisant attention à ne lui tirer aucun poil, mais surtout en étant le plus doux possible. J’avais maintenant vraiment la sensation de faire ça, comme l’aurait fait une femme en le rhabillant avec des gestes très amples et doux mais surtout en prenant le temps de le caresser à chaque occasion qui se présentait. Cela me faisait tout drôle de ranger ce sexe tout dur dans ce boxer si doux, à chaque fois que je l’effleurais il reprenait du volume. J’ai quand même réussi à le rhabiller et quelques instants plus tard Claude nous a quittés, je vais vous avouer qu’au fond de moi j’étais un peu triste de le voir partir.
    
    « Viens voilà ma chérie, j’ai l’impression que tu es un peu triste de voir partir ton homme. Tu te rends compte que tu arrives à me donner énormément de plaisir, et la même chose auprès d’un homme ; ce n’est pas donné à tout le monde. Tu sais être un bon étalon pour ta maîtresse et une bonne salope pour ton maître, tu as vraiment beaucoup de potentiel.»
    
    Moi qui, voilà peu, étais encore puceau, voilà que maintenant je suis avec une sexualité on ne peut plus débridée. Une seule copine ou un seul copain de classe ne m’aurait cru si je leur racontais ce que je suis en train de devenir sexuellement, en même temps faites-moi confiance je suis encore timide et je ne suis pas près de leur raconter tout ça. C’est vrai que Muriel était en train de me dévergonder mais je ...
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