De l'habit au moine
Datte: 12/11/2019,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
telnet,
fsoumise,
humilié(e),
noculotte,
vidéox,
pénétratio,
policier,
tarifé,
fsoumisah,
Auteur: Resonance, Source: Revebebe
... fourgon avec moi, et nous le déplacerons au poste d’observation. Les quatre autres resteront au parking des véhicules légers.
Le capitaine montrait sur l’image projetée la position et les déplacements des véhicules.
— Ensuite, dans la voiture, vous attendrez les consignes, sauf accident, je vous appellerai juste pour l’interpellation. Lors de celle-ci, faites attention à ne pas « reconnaître » Antonietti, notre intérêt est que Klein ignore qu’elle est des nôtres jusqu’au bout. N’hésitez pas à lui passer les menottes.
Il reprit en désignant à nouveau le parking des véhicules légers.
— En attendant d’intervenir, faites-vous discrets, surtout n’approchez pas des camions, mais soyez prêts à foncer… Restez dans la voiture le plus possible, allez pisser un à la fois, et sans traîner.
Marc apprécia en silence. Rousseau se montrait une fois de plus très malin. Le cœur de l’action serait au niveau des camions, observé depuis le fourgon, où ne se trouveraient que lui-même, son vieux complice Lazare, en qui il avait entière confiance, et Marc. Les quatre autres, dont les deux externes à l’unité, n’entendraient rien, ne verraient rien avant que leur but ne soit atteint. Si quelque chose d’imprévu arrivait, il pourrait leur en donner n’importe quelle version.
— Lazare, vous avez l’émetteur ? reprit le capitaine.
Lazare avait une boîte avec lui et sortit le téléphone intelligent très particulier que Marc et Mathilde avaient utilisé la veille. Excellent bricoleur et bon ...
... électronicien, il en était l’un des créateurs, sur une idée de Marc qui de son côté avait fait les modifications nécessaires au logiciel, pour gérer l’appel automatique et l’enregistrement. Lazare cilla en s’apercevant que contrairement à l’usage, la batterie n’avait pas été enlevée. Comme tous les téléphones modernes, celui-ci, même éteint, consommait un peu de courant, ne serait-ce que pour conserver l’heure.
Rousseau l’avait remarqué aussi.
— Il est chargé ?
— Euh… il l’était après la dernière fois qu’il a servi. Mais il n’a pas servi depuis longtemps…
Il y eut un silence. Tous, autour de la table, essayaient de se rappeler depuis quand. Plusieurs semaines, en fait. Tous, sauf Mathilde et Marc, qui commença à ouvrir la bouche. Il avait emprunté le téléphone la veille sans signaler l’emprunt dans le registre adéquat, ce qui était un manquement au règlement. Par contre, il l’avait dûment remis en charge toute la nuit, et n’avait pas enlevé la batterie car il savait que le téléphone resservirait le jour même. Il savait donc qu’il n’y aurait pas de problème de charge.
Un coup de pied de côté sur la cheville le fit taire. Mathilde ne voulait pas qu’il en parle. Sans doute voulait-elle éviter d’avoir à expliquer l’usage qu’ils en avaient fait dans le bar irlandais, ce qu’il pouvait comprendre. Il referma la bouche
— Branchez-le.
Lazare s’exécuta. La lumière de chargement était orange. Combien de temps faudrait-il pour le charger complètement ?
Le capitaine ...