1. « Moi, Julien… » SAISON 1 EPISODE 1 : Le premier jour du reste de ma vie


    Datte: 18/03/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Castor99, Source: Hds

    ... enfourné ma bite dans sa bouche. Putain, cela faisait tellement longtemps que je ne m’étais pas fait sucer ! Le vieux s’est éclipsé poliment et le mec m’a proposé qu’on se déplace de quelques mètres pour être à l’abri des regards. « Pas de problème pour moi » ai-je répondu.
    
    On a accolé nos serviettes et on a repris nos galipettes. Il embrassait bien. Avec sensualité. Sa bouche avait un gout sucré. Son corps avait un gout salé. Ma langue virevoltait sur son cou, son torse, ses tétons, son ventre musclé et enfin sa bite. Modèle finement dessiné, de longueur moyenne comme la mienne, pas trop grosse ni trop petite, la mienne étant peu plus épaisse au niveau du gland. En tout cas parfaite pour moi. Je l’embouchais avec envie. Cela faisait plus de 20 ans que je n’avais pas sucé un mec mais après tout, c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas. Il avait l’air d’apprécier. Moi aussi. Je ne sais pas comment mais on s’est retrouvé tête bêche, chacun se délectant du sexe de l’autre.
    
    Je tentais un doigt fureteur un peu plus bas. Apparemment il n’y voyait aucune objection, le compas de ses jambes s’élargissant largement. De là, j’avais une jolie vue sur son anus, dénué de poils. J’ai délaissé sa bite luisante de salive pour venir lui bouffer le cul. Je ne l’avais pas fait souvent dans ma vie mais là je ne sais pas, ça me semblait une évidence. Il gémissait la bouche pleine. Excitant. Il a pris la suite des opérations en m’a allongeant sur le dos. Il a farfouillé dans son sac, a sorti ...
    ... une capote qu’il m’a tendu. Pas besoin d’avoir fait Polytechnique pour comprendre ce que je devais en faire. Pendant ce temps il se badigeonnait le trou de gel. Et doucement il est venu s’empaler sur ma queue latexée, ses grands yeux bleus plantés dans les miens.
    
    Ses mouvements étaient lents et langoureux. Il prenait son plaisir le salaud. Putain qu’il était beau mon légionnaire, qu’il sentait bon le sable chaud. Il se branlait la bite en rythme. Je la voyais tressauter entre ses doigts. Il n’allait pas résister longtemps. Cela tombait bien, moi non plus. Il a joui en feulant, ma bite plantée tout au fond de son cul, ses jets de sperme venant s’écraser contre mon torse. Il s’est déculé, m’a enlevé la capote et m’a branlé en me dévorant le cou. Quelques secondes et mon foutre rejoignit le sien, mon corps tendu par la jouissance. Je n’ai même su comme il s’appelait mon légionnaire. Il m’a vite laissé avec mon tee-shirt en guise d’essui tout.
    
    Je suis revenu côté mer pour me poser quelques instants, histoire de me remettre des émotions. La mer n’était ni trop froide ni trop chaude, bref juste parfaite pour se rafraichir. J’ai ensuite somnolé un moment sur ma serviette pour laisser le soleil me sécher doucement. L’après-midi tirait à sa fin et concluait une journée de canicule parfaite.
    
    Je suis revenu à la résidence torse nu, en sueur après un retour rapide en vélo. Je l’ai attaché sur le parking à vélo et me suis dirigé vers l’ascenseur. A peine rentré dedans qu’une voix ...