1. Dégradation d'une bourgeoise 3


    Datte: 10/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Cynthia127, Source: Hds

    ... poursuivie par une femme de mon âge qui la fouettait à l’aide d’une cravache.
    
    Voilà ces salopes presque au complet. On va les attacher puis aller prendre le thé pendant qu’elles méditent sur leur sort. On va les bâillonner car je n’ai pas envie qu’elles échangent leurs impressions. Sachez que cette pièce contient micro et caméra. Si l’une d’entre vous parle, elle subira un châtiment dont elle n’a pas idée.
    
    Le silence se fit. Je n’osais faire le moindre mouvement de peur que cela soit mal interprété et forcée de subir une punition.
    
    Après un temps qui me parut interminable, des voix et des rires se firent entendre. La porte s’ouvrit avec fracas et un homme nu fut projeté dans la pièce poursuivi par une très belle femme qui le cravachait sans pitié.
    
    - Vous n’allez pas le croire, mais c’est mon mari ou plutôt celui qui croit l’être. Lorsque nous nous sommes mariés, il y a trois mois, cet imbécile a préféré boire avec ses amis plutôt que de s’occuper de moi. Il était trop bourré pour me faire l’amour. Le lendemain quand il a voulu me toucher, je l’ai giflé et fouetté avec une ceinture. Ce connard semblait aimer cela. Depuis j’en ai fait mon esclave. J’ai mis sa queue en cage et une fois par semaine je l’autorise à se masturber en me contemplant. Qu’est-ce qu’on dit connard ?
    
    - Merci Maîtresse
    
    - Vous les putes, vous allez l’exciter. Sa queue emprisonnée va lui faire un mal de chien quand il va bander.
    
    On nous détacha. Mes poignets me faisaient mal.
    
    - ...
    ... Alors salope, branlez-vous devant lui ; il aime ça.
    
    Plusieurs coups de cravache s’abattirent sur le postérieur du pauvre homme dont les fesses étaient déjà en sang.
    
    - Tiens, prends celle-là et encore celle-là…
    
    Les coups étaient de plus en plus fort.
    
    - Pitié Maîtresse…arrêtez, cela fait trop mal.
    
    - Tu n’as pas de pitié à attendre de moi. Ton seul salut c’est de divorcer et de me laisser tout ce que tu as.
    
    - Je vous aime trop Maîtresse.
    
    - Alors tu fermes ta gueule.
    
    Nos maîtresses nous forçaient en riant à exciter l’esclave. Tout-à-coup, il se mit à gémir et de sa cage de fer sortit du sperme par saccades.
    
    - Elles te plaisent hein ces putes. Tu sais que tu seras puni pour ça.
    
    On nous mit dans une autre pièce et le temps passa.
    
    L’heure du dîner arriva et on nous fit sortir toujours nues.
    
    Les Maîtresses étaient à table, servies par une esclave que nous n’avions pas encore vue. C’était une petite eurasienne superbe, de 20 ans maximum. Son dos, ses fesses et ses cuisses étaient striés de rouge. Elle devait avoir subi une intense séance de fouet.
    
    - Vous aurez à manger dans vos cellules. Vous passerez notre dîner sous la table à nous lécher et tachez de nous faire jouir.
    
    Nous nous sommes appliquées mais je ne suis pas arrivée à provoquer l’orgasme de ma Maîtresse.
    
    - Tu n’as pas l’air douée avec les femmes. Je vais te punir pour t’apprendre.
    
    Elle échangea quelques mots avec la Maîtresse de l’homme qui partit d’un grand éclat de rire.
    
    - ...