Dégradation d'une bourgeoise 3
Datte: 10/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Cynthia127, Source: Hds
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS -- ------------------------
Un soir mon téléphone sonna : « Je passe te prendre demain matin pour le week-end ; tenue et lingerie sexy ; je serai là vers 9h » et il coupa sans attendre ma réponse.
A l’heure dite, il était là, assez jovial.
- Tu vas passer un week-end de rêve ; je t’envie ; dommage que je ne puis pas être là pour te voir ».
- Vous ne m’accompagnez pas Maître, dis-je d’une voix un peu paniquée.
- Non, je t’offre pour le week-end, dit-il en ricanant.
Je reconnus l’endroit ; c’était le magasin « Tout pour le cheval ». Je compris à ce moment-là que j’allais être livrée à la femme du magasin.
- Ah voilà l’esclave, dit-elle en m’enrobant d’un regard vicieux.
Elle m’embarqua dans sa voiture et nous roulâmes durant près d’une heure en silence, rejoignant un village de campagne. La propriété où nous étions jouxtait une grande prairie où plusieurs chevaux s’ébattaient.
Un corps de logis, une grange, l’écurie et un petit bâtiment constituaient l’ensemble.
Une fois dans la maison, elle m’ordonna : « A poil et en vitesse ».
J’étais nue dans cette maison que je ne connaissais pas et avec cette femme au regard cruel qui m’avait si durement fouettée. Elle me fixa un collier au cou et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles. Puis elle m’attacha une laisse et collier et me fit sortir nue de la maison pour me mener dans le petit bâtiment séparé de la maison. La pièce était assez sombre et je ...
... mis le temps à découvrir l’intérieur. Des chaînes pendaient au plafond ; des crochets étaient fixés un peu partout et une croix de St André tapissait le fonds de la pièce.
- Tu vas vivre un super week-end ; j’ai deux amies qui amèneront leurs esclaves ; on va se régaler.
Elle fixa mes poignets aux crochets du mur et les ferma avec un cadenas. Puis elle me pinça fortement les tétons provoquant une onde de choc. Mes gémissements semblaient l’exciter et elle tordit mes seins jusqu’à ce que les larmes me viennent aux yeux.
- Arrêtez, je vous en supplie, c’est insupportable.
- Ta gueule putain, je t’ai payée pour le week-end et je ferai de toi ce que je veux. Ton Maître est bien trop bon avec toi. Ici tu vas connaître la véritable vie de l’esclave.
En disant cela, sa main s’était portée sur mon entrejambe et deux doigts pénétrèrent brutalement mon intimité.
- Tu mouilles salope, tu aimes ça.
Effectivement, malgré la douleur, je sentais en moi une excitation qui montait. Elle continua son va-et-vient dans ma chatte et brutalement j’explosai…la jouissance était venue d’un coup ; je poussai un rugissement.
- Dis donc tu pars vite toi ; il faudra que je t’interdise de jouir ; une esclave n’a pas le droit au plaisir.
Elle quitta la pièce, en fermant la porte à clé. Le temps passé fixée à ce mur me parut une éternité. J’entendis une voiture, des rires, puis des cris et la porte s’ouvrit. Une fille jeune, très jeune, à peine 20 ans, entra nue, à quatre pattes, ...