1. Quand l'épouse devient la maîtresse - 2


    Datte: 09/11/2019, Catégories: fhh, cocus, inconnu, hotel, fsoumise, facial, Oral préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe jouet, yeuxbandés, confession, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... rire.
    — Ah ! dis-je, pas transportée d’hilarité.
    — Mais si, écoute. Il a envoyé un mail à une femme, sa maîtresse, à qui il donnait rendez-vous. Mais, le con, il s’est trompé d’adresse ; et comme il est parti aussitôt, il ne s’en est pas rendu compte.
    — Ah… dis je, pas hilare du tout.
    — Mais le plus drôle, c’est qu’une femme s’est présentée à son rendez vous et qu’il a cru que s’était sa maîtresse !
    
    Mon cerveau mouline à cent à l’heure.« Il me raconte des craques juste pour me tester ? Ou bien serait-ce la vérité ? »
    
    — Ton collègue te raconte des histoires ; il veut se faire mousser. Il est aveugle ou quoi ? Il ne l’a pas reconnue ? Des blagues !
    — Mais non. Si j’ai bien compris, avec sa maîtresse, ils organisent des soirées à thèmes et ce soir-là, ils l’ont fait dans le noir, en plus avec cagoule, bâillon, etc. Alors il n’a pas fait la différence.
    — Des malades, quoi ! En plus, ce n’est pas très délicat pour la femme. Ton collègue est un goujat et surement un piètre amant s’il ne connaît pas, sur le bout des doigts, le corps de sa maîtresse ! je me sens obligée de dire pour rester dans mon rôle de femme classique.
    — Peut-être, mais il veut la retrouver. Il m’a bassiné toute la journée avec ceci, avec cela, au point que j’en étais gêné.
    — Bon, et qu’est ce que tu as à voir là-dedans, et en quoi suis-je concernée par cette histoire de mec en chaleur ?
    
    Ma remarque un peu sèche ne le déstabilise pas.
    
    — Oh, c’est juste qu’il veut que je lui prête à nouveau ...
    ... mon PC, car c’est pour lui le seul moyen de reprendre contact avec son inconnue. D’ailleurs, il ne comprend pas, et moi encore moins comment un mail qui revient du fait d’une adresse fausse a été délivré quand même.
    
    « Oh, là là ! L’étau se resserre… »
    
    — Fais comme tu veux. Je ne me sens pas concernée par les coucheries de tes collègues.
    — Je crois que je vais accepter. Je vais juste lui demander de bien préciser que l’adresse de l’expéditeur n’est pas la sienne. Après tout, mon nom apparaît et cette femme est peut-être malade d’avoir fait ce qu’elle a fait. Tu t’imagines, toi, te rendre à un rendez-vous qui ne t’est pas destiné et faire l’amour avec un inconnu ?
    — Quelle question ! Non, bien sûr…
    
    La conversation semble close, mais me laisse perplexe. Son histoire est cousue de fil blanc. Ce collègue n’existe pas. Il veut juste vérifier que ce n’est pas moi qui ai pris la place de sa maîtresse, car maintenant j’imagine qu’il lui a parlé, après avoir constaté son mail retourné pour fausse adresse.
    
    — Au fait, chérie, tu voulais me dire quelque chose tout à l’heure ; c’est quoi ?
    
    Boum. Boum. Mon cœur s’accélère. Que dois-je faire ? Dire que je suis au courant de sa maîtresse ? C’est reconnaître avoir lu le mail. Du coup, c’est avouer que c’est moi qui a pris la place. Mais aussi le confondre. Mais si jamais son histoire est vraie, que le collègue existe, c’est reconnaître que j’ai couché avec lui, à mon corps défendant et de bonne foi, mais que je l’ai trompé. Et ...
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