1. Quand l'épouse devient la maîtresse - 2


    Datte: 09/11/2019, Catégories: fhh, cocus, inconnu, hotel, fsoumise, facial, Oral préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe jouet, yeuxbandés, confession, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... une nouvelle aventure, audacieuse maîtresse ? Si tu es là, c’est que tu as apprécié la semaine dernière.
    
    Je hoche de la tête.
    
    — Il faut me répondre, je ne te vois pas.
    — Oui… dis-je dans un souffle.
    
    Ses mains se glissent sous mon manteau et vont vérifier que j’ai bien ses jouets.
    
    — Bien, très bien. Tu es obéissante. Tu aimes mes cadeaux ?
    
    Au même moment, l’œuf me surprend par une vibration intime. Je sursaute, mais elle cesse. Les boutons de mon manteau cèdent les uns après les autres et le lourd tissu tombe au sol.
    
    L’homme vient derrière moi. Je retrouve son contact, cette peau inconnue, ce sexe que je sens encore tendre.
    
    Il me place un bandeau devant les yeux tout en m’embrassant dans le cou, à la base de l’oreille, à l’endroit où je suis si sensible.
    
    — Ce soir, pas de bâillon, pas de liens. J’ai des projets pour ta bouche. Je suis certain que tu dois savoir t’en servir avec dextérité. Il faut être une coquine, une libertine pour venir rencontrer un inconnu. Quant à tes mains, voyons ou elles te conduisent.
    
    Moi aussi j’explore son corps. Je m’attarde sur le torse velu, les hanches fortes, un ventre avec un début d’embonpoint pour atteindre le graal qui attend entre ses cuisses. Le sexe pend, au repos, pas du tout comme la dernière fois où il m’attendait déjà au garde-à-vous.
    
    Mais la tige vibre dès mon contact. C’est toujours un beau spectacle de voir un sexe d’homme se dresser.
    
    C’est une phrase idiote : je n’ai pas tellement connu d’hommes ...
    ... à part mon mari et quelques aventures avant lui. Quant à voir, j’aurais bien du mal, dans le noir et les yeux bandés. Mais la sensation, elle, est bien présente. La tige souple se transforme en bâton qui se dresse pour venir se plaquer contre le ventre. Elle dégage le chemin des bourses, d’une douceur que l’épilation rend soyeuses. Elles aussi gonflent. Ma paume se saisit de chacune et les masse délicatement.
    
    Julien m’entraîne avec lui. Je sens qu’il bute contre un siège, non, un lit où il s’assoit. Il n’est pas nécessaire de me guider ou de me demander. Je m’agenouille sur la moquette épaisse de cette chambre que je n’ai jamais vue.
    
    C’est comme si la queue brillait dans le noir. Mes lèvres en trouvent le chemin. Je gobe le gland, énorme champignon goûteux tout en branlant la tige d’une main. Je ne sais pas engloutir une queue ; mon mari a depuis longtemps abandonné tout espoir de me voir lui faire une gorge profonde. En plus, celle-ci est grosse, plus grosse que longue. Même avec toute l’envie de satisfaire mon amant d’un soir, j’ai bien du mal à aller plus loin que la base du champignon. Mais je sais lécher, enduire de salive hampe et couilles que je m’amuse à gober.
    
    Oh, l’œuf recommence sa farandole. Il vibre, déclenchant des ondes au rythme de ses oscillations. Il doit barboter dans un océan de liquide, tellement je suis excitée…
    
    Mon amant me caresse. En se penchant, il atteint mes fesses qu’il flatte, mes hanches, mon ventre et mes seins. Mon Dieu, mes seins ...
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