Quand l'épouse devient la maîtresse - 2
Datte: 09/11/2019,
Catégories:
fhh,
cocus,
inconnu,
hotel,
fsoumise,
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
jouet,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... projets pour cette nuit.
— Oui.
J’attends la sentence qui ne va pas manquer d’arriver. La froideur et le calme de mon mari vont se transformer en colère et vindictes.
— Je suis d’accord.
Je n’ai pas dû bien entendre.
— Quoi ?
— Je dis que je suis d’accord et que tu as raison.
Je ne comprends pas. Qu’est-il en train de me dire ?
— Notre sexualité est au point mort. Moi aussi je l’ai constaté. Moi aussi j’ai voulu la changer, mais je ne savais pas comment faire. Maintenant je sais. Tu nous as montré le chemin.
— Tu veux dire que tu me comprends et que tu me pardonnes ?
— Mais oui, ma chérie.
Et Marc fait ce geste magique d’avancer vers moi, de me prendre dans ses bras pour m’embrasser. Je frissonne. La tension était trop forte. Mais aussi ce baiser est une promesse, un pardon. Je lui réponds avec fougue.
Il se détache de moi, me regarde dans les yeux et dit :
— Tes lèvres sentent le sperme.
Encore une fois je pense avoir mal compris, mais son sourire est en accord avec ses paroles. Il recule encore.
— Viens, allons dans le salon.
Il m’indique le canapé, va éteindre la lumière et je le sens revenir à tâtons dans le noir le plus complet pour s’installer à mes côtés.
— Je voudrais que tu les remettes, dit-il en me donnant les deux objets, preuves de ma trahison.
J’obéis. Me lève pour enlever le manteau détaché mais encore sur mes épaules. Il ne voit rien, mais par les frottements il doit comprendre que je suis obéissante. Plug et ...
... œuf retrouvent le chemin de mes orifices.
— C’est fait ?
— Oui.
— Suce-moi.
Ce sont des mots crus, mais qui chantent à mon oreille, comme un début.
Je décide de le déshabiller pour sentir son corps, son odeur. Les sensations sont délicieuses. Le noir transcende tout. Je ne me prive pas de le caresser longuement avant de m’agenouiller devant lui et m’emparer de cette queue déjà raide de désir, de ce désir que je provoque encore chez mon mari, comme je l’ai provoqué chez mes amants d’un soir.
Sa queue est humide et a comme une odeur de sperme. J’imagine que c’est ma bouche, receveuse de foutre, qui transporte ce goût avec elle. J’ai la pensée cochonne que je suis en train de badigeonner la queue de mon homme avec le sperme d’un autre.
Je sursaute. L’œuf s’est mis en marche. Un faux contact, certainement. Il s’arrête.
Une heure auparavant j’étais dans la même position, à genoux, pompant une queue, plus grosse, plus longue, celle d’un amant inconnu, ou de son ami, je ne sais plus.
L’œuf vibre à nouveau. Comme tout à heure, au rythme de ma fellation.« Mais comment peut-il vibrer alors que la télécommande est restée à l’hôtel ? Étrange, pourtant… » Je m’étonne. Cesse de sucer mon mari.
— Mais comment…
— Tais-toi et pompe-moi. Je vais te raconter une histoire : il était une fois un mari qui trouvait que sa vie sexuelle était trop calme et qui avait le fantasme bien connu de voir sa femme avec un autre homme, mais il n’osait pas en parler à son épouse, ...