1. Les moches sont les pires des salopes


    Datte: 09/11/2019, Catégories: fh, gros(ses), complexe, laid(e)s, sauna, forêt, hotel, amour, ffontaine, entreseins, Oral fsodo, coprolalie, fouetfesse, Auteur: Laure Topigne, Source: Revebebe

    ... les pans de son imper et lui lança un grand sourire tandis qu’il lui décochait un regard torve. Parvenant à la chambre, elle s’enquit :
    
    — Je me défringue, chéri ?
    
    Elle sut rendre le « chéri » mielleux comme un bonbon dégoulinant de sucre.
    
    — Tu fais ce que je te dis, grosse pouffe, rien de plus, rien de moins. Enlève seulement cette saloperie d’imper.
    
    Je m’installai dans le grand fauteuil face à elle.
    
    — Commence par retirer ce déshabillé.
    
    Elle s’y employa avec une lenteur de professionnelle sûre de ses effets et venimeux sortilèges, soucieuse d’aguicher son client, mais aussi avec des candeurs qui conjuguaient un zeste d’innocence à une noire lubricité pour lui constituer une magnétique et sulfureuse aura.
    
    — Mets-toi à quatre pattes, là, bien en face du miroir.
    
    Je tournai autour d’elle en lutinant un peu ses fesses puis en les cinglant de deux claques violentes. Elle sursauta et gémit. Je lui demandai d’enlever la nuisette et de dégrafer le haut de sa guêpière. Elle s’assit sur ses mollets et se tortilla lascivement, accaparée par ce difficile exercice.
    
    — Tu ne veux pas m’aider, mon loup ?
    — Ne me prends pas pour ta femme de chambre. Stoppe là ces conneries et n’ouvre pas davantage ces frusques. Rabats ça sur l’avant, que je puisse reluquer tes tétons.
    
    Après l’avoir examinée comme un maquignon, j’ordonnai :
    
    — Reste à genoux, redresse-toi et descends ta culotte jusqu’à tes genoux.
    
    Elle obtempéra.
    
    — Et maintenant tiens-toi droite et ...
    ... écarte les jambons.
    
    Elle s’exécuta encore. Je me plaçai dans son dos et palpai la culotte déjà fort humide. J’humectai mes doigts de son jus en sondant son entrecuisse puis les portai à sa bouche.
    
    — Ainsi tu mouilles avant que je ne t’y invite… Eh bien lèche ta bave de salope délurée, dis-je en me mettant face à elle.
    
    Elle rougit cette fois violemment mais je devinai que c’était plus de l’épithète que du geste. Sans mot dire, elle suça une à une mes phalanges et je compris que cela ne relevait plus en rien d’un jeu, qu’elle avait complètement endossé son rôle de putain vicieuse et soumise. Elle était pantelante, jubilait de ces extravagances en même temps qu’indignation et honte la dévoraient. Avisant la branche d’osier ramenée la veille, je m’en emparai. Je la portai sous son menton de sorte à la forcer à redresser la tête et à fixer mon regard. Elle ne se déroba pas tandis que je promenai cette badine improvisée sur ses seins. Dans ses yeux je vis l’envie se disputer à la crainte bien qu’elle avança l’offensive de son poitrail dans un geste de défi affolé. Du bout de la tige flexible, j’excitais ses tétons qui se dressèrent vaillamment pour proclamer leur indifférence face à cette menace. Je fis courir le jonc entre ses seins, descendis sur son ventre encore protégé, en griffai son mont de Vénus, puis vins frôler les lèvres de son sexe. Elle se tordit dans une émouvante convulsion. De ses yeux implorants et apeurés, elle semblait craindre autant que souhaiter que je ...
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