Elle et Elle (11)
Datte: 18/03/2018,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: airdepanache, Source: Xstory
... ses pieds, tentant de m’empêcher de commettre mon forfait, mais sa résistance n’était que formelle et elle était en réalité pleinement consentante.
Je fonçai vers elle, passant mes mains sur ses hanches, saisissant les bords de sa petite culotte, et je tirai lentement, la débarrassant de l’adorable shorty. Voilà : elle ne portait plus qu’un top, et se retrouver ainsi presque nue alors qu’elle était en plein milieu d’une conversation téléphonique très sérieuse la fit rougir à la manière d’une lycéenne. Son sous-vêtement chuta à ses chevilles, et je pris celui-ci dans ma main, en humant la senteur moite.
« Comment ? Mais non écoute, c’est pas la question. Arrête avec ça à la fin. Je te jure qu’il n’y a aucun homme dans mon appartement, voilà. »
Il était temps de se mettre au travail. D’un geste ferme, presque autoritaire, j’écartai les cuisses de Laetitia afin qu’elle me donne accès à son sexe. Elle s’exécuta, assise dans une position extrêmement impudique, son intimité exposée à toutes les attentions les plus coquines de la femme qui l’aimait.
Grisée par la situation, j’imprimai la marque de mes lèvres froides sur l’intérieur de ses cuisses, l’une après l’autre, de plus en plus haut, avant d’embrasser son nombril et le bas de son ventre. Sa peau se couvrit de chair de poule, et je vis ses tétons durcir à travers le tissu de son petit haut. Ça y était : elle était aussi excitée que moi par la situation.
« Non… Non, ne vient pas… Ce n’est pas la peine qu’on ...
... parle de tout ça face à face… On s’est dit tout ce qu’on devait se dire, je pense » dit-elle à ce pauvre garçon.
Ma bouche était toute proche de sa vulve glabre et comme couverte de rosée. J’étais en transe. Hypnotisée par cette tentation si proche. Elle était de la couleur du camélia, son dessin rectiligne juste assez irrégulier pour susciter l’émoi. Ça sentait le cuivre et l’épice, le lila et le safran. Enivrante.
Rien que de me sentir là, le visage fiché entre ses cuisses, ma copine se mit à mouiller, et sa respiration se fit lourde. La mienne aussi, du coup. Incapable de me retenir plus longtemps, je déposai une série de bisous sur sa chatte, autour, dessus, de haut en bas. De la pointe de ma langue, je cajolai le pourtour, le long des grandes lèvres, explorant minutieusement les reliefs de ce dernier rempart avant l’intimité. Laetitia, qui déployait des efforts pas croyables pour garder le contrôle, se mit à s’ébrouer, pas tranquille. En elle, je réveillais des sensations irrépressibles. Elle perdait pied :
« Si tu voulais que… ça marche entre nous… Il fallait y penser… avant… Là désolée mais je suis passée à… aaaaahh… autre chose. »
C’en était trop. Je glissai ma langue dans son sexe, l’extrémité d’abord, en émissaire, pour tâter le terrain. Elle frétilla. Avec application, je pris possession des lieux, descendant et montant le long de sa fente dont l’humidité se faisait de plus en plus accueillante. Elle avait un goût de caramel salé et de toast beurré. ...