Mes amies d'enfance (1)
Datte: 07/11/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Loco2016, Source: Xstory
... vagin comme un gros dégueulasse. Ce vagin à moi, ce trou à bite dont je veux en faire mon terrier. Je serre les dents, j’ai besoin de me décharger. C’est bon, mais c’est trop bon. Cela me fait presque mal tant c’est difficile de se retenir. Il faut que je tienne bon, mais elle voit bien que je suis tourmenté :
— Tu as envie de jouir ? me demande-t-elle.
— Oui.
— Tu te retiens pour moi ?
— Oui. Je veux jouir avec toi.
— Courage, je viens bientôt venir. Continue, s’il te plait.
Je redouble de vigueur, mais cela devient insoutenable.
— Ooh, Elena…
— Clay… Je te plais ?
— Oh oui. Tu es si belle ?
— Tu as envie de moi ?
— Oui.
— Tu m’aimes ?
— Je t’aime, Elena, si fort.
— Ça vient, Clay. Ça vient !
— Elena…
— Joui avec moi, s’il te plait.
— Oui…
— Ne te retient plus, éjacule pour moi.
— Je viens aussi. Aaah !
— Oui ! Allez ! Remplis-moi de sperme !
Mon dieu, quelle cochonne ! Je n’en peux plus. J’ai l’impression de perdre conscience quand je sens mon plaisir monter. Plus rien ne pourrait l’arrêter maintenant. Je lui donne de violents coups de boutoirs comme pour chercher à me faire venir plus vite. Je ne cherche plus à lui faire du bien à présent, juste à me finir. Le jus grimpe le long de ma verge. Je beugle ...
... quand je me sens expulser un premier copieux jet de sperme. Elle crie avec moi, elle tremble. C’est fabuleux, nous jouissons tous les deux, ensemble, comme un vrai couple. Les soubresauts de son vagin sont en train de me traire. Je ne m’arrête pas de gicler. Je lui donne tout ce que j’ai accumulé ces derniers jours, cela me parait interminable. Quand je commence à redescendre sur terre, je m’écroule sur elle. Je n’ai plus rien à tirer. Mon orgasme est passé, mais je suis encore dans les nuages. Elle-aussi, elle me caresse tendrement les cheveux. En reprenant mes esprits, je réalise ce que je viens de faire. Je suis un monstre : j’ai baisé mon amie d’enfance, et je me suis vidé les couilles dans sa chatte comme le dernier est enfoiré. Tant pis, je m’en fou, je suis bien.
Nous restons ainsi un moment. Puis je me rappelle qu’il y a deux filles dehors qui doivent se demander ce que nous faisons et qui ne doivent surtout pas nous trouver dans cette position. Je sors mon sexe ramolli hors de son vagin. Une quantité incroyable de sperme en dégouline et souille mes draps.
— Hmm, ce que tu m’as mis. Tu n’as pas tiré ton coup depuis longtemps, toi, non ?
— Désolé, fais-je penaud.
— T’excuse pas, idiot.
Nous nous embrassons puis nous nous séparons chacun de notre côté.