Mes amies d'enfance (1)
Datte: 07/11/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Loco2016, Source: Xstory
... les tétons. Elle soupire de bonheur en me pressant la tête contre elle. Elle le fait aussi bien pour me dire qu’elle aime ça que pour me faire savoir qu’elle est heureuse que je la trouve splendide. Je les empoigne et les masse comme un puceau qui découvre une paire de nibards pour sa première fois. Je n’ai jamais pu coucher avec une femme aussi belle.
Elle accélère le rythme, comme en réponse au bien que je lui fais. Elle fait grimper notre excitation à tous les deux. Je vais avoir du mal à me retenir si elle continue comme ça. Je suis célibataire depuis plusieurs mois. Je ne me suis pas branlé depuis que je suis arrivé ici, et même avant ça, cela faisait quelques jours que je n’avais rien fait. J’ai ce besoin viscéral de cracher mon jus et de me vider les couilles. Je ne veux pas, cependant ; je veux la faire jouir et être un bon amant, pas passer pour un précoce. Par chance, elle s’arrête brusquement. Elle me fait sortir d’elle avant de s’allonger sur le lit en écartant les cuisses.
— Viens Clay, j’ai envie que tu me prennes.
— Ooh, moi aussi.
Elle s’offre à moi, attendant que je vienne m’occuper d’elle. J’en profite pour l’admirer. Elle se caresse le clitoris pour me signaler son impatience. Je m’approche et me mets en position.
— Vas-y. Fais-moi tienne, m’encourage-t-elle.
— Elena...
Je m’enfonce en elle et commence à la limer. Je ne suis plus si sûr que c’était une bonne idée. Elle m’a fait l’amour passionnément, mais moi, j’ai envie de la prendre ...
... comme un animal. Je lui donne de puissants coups de reins en jouant avec ses seins qui m’excitent tant.
— Je te veux, Elena. Je ne te veux.
— Oui, oui. Plus fort !
Elle gémit de plaisir ; voilà qui me rassure. Je me penche vers elle pour l’embrasser fougueusement. Elle passe ses mains dans mon dos. Nos corps sont maintenant collés l’un à l’autre.
— Fais-moi tienne ! Fais-moi tienne ! Fais-moi sentir que tu me veux !
— Je t’aime ! crie-je tout à coup.
Merde ! Je n’aurais jamais dû dire un truc pareil. Je le pense, mais ce n’est pas un peu trop tôt pour l’avouer ? J’ai peur de l’avoir effrayée, mais à la place, je la sens mouiller davantage. Waow ! Ça, je crois que ça voulait dire « moi aussi ».
— Oui ! Oui ! Baise-moi s’il te plait.
Elle continue lorsqu’elle remarque que j’ai été choqué de la voir parler crument :
— Baise-moi fort, Clay. Je ne suis pas une fille prude et fragile. Je n’en ai pas honte. J’aime le sexe. J’aime la bite. J’aime qu’on me prenne comme une chienne. Alors vas-y, lâche-toi, saute-moi, fais-moi du bien. Souille-moi autant que tu veux.
Je ne sais pas si c’est le fait de l’avoir entendu parler de façon aussi grossière, ou celui d’avoir son approbation, mais je m’exécute. Je lui démonte la chatte avec mon gros dard comme un animal en manque. Mes couilles pleines de foutre claquent contre son pubis. J’ai complétement perdu la tête. Je ne suis plus son ami d’enfance, je ne suis plus qu’un pervers qui ne pense qu’à lui perforer le ...