Le "G", le ripou et les belles nanas (1ère partie) - Histoires de Sexe

Le "G", le ripou et les belles nanas (1ère partie)

... point de…
— Oh là, on est sur le point de s’éclater entre adultes consentants, parce que c’est bon, et on se protège, on est responsables. Mais si ça doit te retourner le cerveau, c’est pas la peine, que je lui rétorque.

Elle reste muette puis hausse finalement les épaules.

— T’as raison. On ne fait rien de mal.

OUF ! Putain, j’aurais pas eu l’air con si elle m’avait planté là… Je me penche vers elle et l’embrasse sur la joue.

— Tu es belle…

Elle s’abandonne dans mes bras, je la serre contre moi, je l’allonge sur le canapé et me place au-dessus, tout en l’embrassant doucement sur les joues, le front, les lèvres. Elle sent bon. Ah, j’entends des gémissements qui montent de la chambre de Since, il doit être en train de concrétiser, comme moi. Warda sourit et ferme les yeux. Je pose une main sur son sein droit.

— Tu veux bien mettre un peu de musique ?
— Bien sûr chérie, si ça peut te faire plaisir.

À tâtons, je m’empare de la télécommande tombée près du canapé et zappe sur MTV. Un clip de Nas Escobar. Parfait. Une belle nana, une bonne musique.

— Hum, fait-elle en regardant la télé, trop beau ce mec.

Je la ramène à moi, doucement, en glissant mes mains sous son pull que je remonte lentement, embrassant au passage son nombril. Il suffit d’une seconde et de mes deux mains avides - une équipe toujours gagnante - et elle se retrouve affalée dans le canapé, en soutif. Là, je ne réfléchis plus très bien, en tout cas plus avec mon cerveau, c’est sûr. ...

... Parce que, devant moi, deux magnifiques seins enfermés me supplient de venir les délivrer, ce que je m’empresse de faire.

— Cela va toujours, baby ?

Je prends son soupir pour un « oui » et je pointe ma langue en avant, vers les deux mamelons fièrement dressés. Hum, aussi bons qu’ils en ont l’air. Je les suce doucement l’un après l’autre, sans cesser de la peloter fermement.

— Oui, ça va… Super bien…

Je les prends entre mes lèvres, les aspire, comme si j’étais son bébé.

— Ah… Hum…
— Ils sont trop bons, et trop beaux tes seins…

Je descends vers son ventre rond, passe ma langue dessus.

— On va voir si le reste est aussi appétissant.

En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je suis en train de dégrafer sa ceinture, et son jean descend le long de ses jambes. Putain, en plus de ça elle a de belles cuisses, vraiment, je vais la dévorer toute crue, celle-là… Bientôt, il ne reste plus que sa culotte, une culotte blanche toute simple, sa dernière barrière. J’enlève rapidement mon t-shirt et mon pantalon, c’est vrai qu’il fait très chaud tout à coup. Mes mains s’égarent sur ses seins, sur son ventre et finissent par l’agripper par la taille pour la retourner. Putain, c’est dingue ce qu’elle a un beau cul, rebondi, musclé et ferme…

— Vite, vite, enlève ta culotte, ça urge là, baby…

Elle explose à moitié de rire et obtempère. Elle la jette par terre et je plonge ma tête entre ses fesses. Son corps se crispe soudain lorsque ma langue se pose sur l’ourlet ...