1. Ma première fois


    Datte: 04/11/2019, Catégories: fh, jeunes, copains, fête, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, préservati, pénétratio, init, prememois, initfh, inithf, Auteur: SurfSound, Source: Revebebe

    ... en restant tendre, n’oubliant pas les bisous passionnés.
    
    Je donne peut-être l’impression de m’attarder, mais mes mots ne peuvent que difficilement décrire ces instants, qu’en somme je veux partager avec le lecteur. C’est là, dans la pénombre de ma chambre d’adolescent, que j’ai découvert le partage de quelque chose d’unique avec une femme, que j’ai découvert la merveille qu’est le corps du sexe faible. Avec ma main droite, je possédais pleinement cette partie de ma chérie, évaluant l’ampleur de la toison, imaginant encore et encore dans ma tête l’apparence de cette terre que je voudrais contempler sans être dérangé par personne. Honnêtement, il m’a fallu de longues minutes pour me décider à arrêter ces gestes que je répétais en boucle, tellement je ne m’en lassais pas, tellement j’étais heureux de ce je pouvais faire après en avoir tant rêvé, tellement j’étais heureux de procurer du plaisir à Alice. Je ne voulais pas arrêter ni dormir. J’avais aussi trop peur de la suite.
    
    Quand on est un jeune garçon puceau, que l’on rêve – voire planifie – de coucher avec sa copine, on s’imagine tout prévoir. Le scénario est écrit à l’avance, chaque geste calculé et pensé, chaque instant mesuré. On imagine chaque détail du corps de la belle. La réalité est bien différente : on ne découvrira le corps chaud de son aimée que dans l’instant, qu’il s’agisse des formes, de l’apparence, des réactions. On est pris de court, le scénario est vite balayé, seule la trame et quelques éléments ...
    ... peuvent être appliqués. L’émotion nous submerge, nous qui jouons les durs.
    
    Il en fut ainsi pour l’étape suivante. À peine y ai-je vraiment pensé que ma respiration, tout en restant profonde, est devenue irrégulière alors que mon cœur repartait dans tous les sens, battant des records. J’avais la pétoche. Moi qui avais tout imaginé, j’avais peur de la suite ! Peu importe : peur que cela ne marche pas, ou pire encore, peur que cela marche, car là je ne pourrais plus reculer. Si pour le retrait du soutien-gorge, la peur était un peu tenace, il s’agissait plus de la peur d’un éventuel refus d’Alice qui aurait coupé court à la suite des ébats. Là, la peur était là avant de tenter, pendant, et après. Mon éducation, le fait de goûter au fruit défendu, tout cela me travaillait. Il ne s’agissait pas de juste retirer un soutien-gorge pour mieux peloter ma copine ; là, on était dans le sérieux. Le prendrait-elle comme cela ? Dirait-elle stop ? Me suivrait-elle ? La peur du refus, mais aussi la peur qu’elle accepte. La peur de continuer pour faire quelque chose que je mourais d’envie de faire.
    
    Après bien des instants d’hésitation, calculant comment m’y prendre, c’est tendu et stressé, presque tremblotant, que j’ai décidé de tenter de passer à l’étape suivante.
    
    Jusqu’alors, j’étais depuis bientôt une demi-heure ou trois quarts d’heure appuyé sur la tranche gauche, ma main de ce côté de mon corps réduite à l’inaction, tandis que l’autre main profitait à elle seule de la merveille devant ...
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