Ma première fois
Datte: 04/11/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
copains,
fête,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
préservati,
pénétratio,
init,
prememois,
initfh,
inithf,
Auteur: SurfSound, Source: Revebebe
... moi. À présent, mon membre gauche allait m’être utile, juste un peu ; il me fallait sa participation. Lentement, trop apeuré de faire un faux geste et de brusquer Alice, je dégageai mon bras gauche, c’est-à-dire que je le dépliai difficilement le long de mon corps pour que ma main atteigne le niveau de mon bassin. Alors que ma main droite était toujours active – de manière plus désordonnée – je réfléchis une dernière fois, toujours cette foutue peur, avant de tenter le coup.
Ma main droite, la travailleuse qui se régalait tant, avait à présent toute l’amplitude qu’elle voulait. Je la déplaçai tout doucement, centimètre après centimètre, m’arrêtant parfois pour mieux me concentrer sur mes baisers. Ma main finit enfin par atteindre, du bout de ses doigts visqueux, la fesse gauche, découvrant sa douceur, imaginant sa blancheur, mais ne put s’en saisir, car gênée à la fois par la position de ma belle, mais aussi par le tissu de la culotte, à ma grande surprise, imaginant auparavant qu’Alice portait un string. Un peu déçu de ne pouvoir l’agripper et la malaxer tendrement, je n’en oubliai pas ma mission alors que mon cœur voulait sortir de ma poitrine.
Avec le recul encore une fois, je me rends compte qu’il s’agisse du Bac ou de mon permis de conduire, le trac et l’appréhension qui me possédèrent ces jours-là étaient somme toute ridicules en comparaison avec ce que je vécus ce soir-là, surtout à partir de ce moment-là.
Fermement, mais subtilement, mes doigts de la main ...
... droite se glissèrent sous l’élastique de la culotte, au niveau de la hanche, alors que malgré sa position qui ne lui laissait que peu d’amplitude pour ses mouvements, ma main gauche faisait de même de son côté. Après encore plusieurs secondes d’hésitation, presque paralysé par la peur, mais poussé par mes hormones et ma curiosité, je tirai légèrement vers le bas, avec une force augmentant graduellement, mais qui resta très faible pour rester dans ma ligne de conduite, dans la douceur ambiante.
Un immense coup de chaleur. Mon cœur s’accéléra encore. Des picotements dans le corps, puis une joie intense. C’est ce que j’ai ressenti quand je perçus qu’Alice soulevait légèrement le bassin. Je ne savais pas ce qu’elle voulait. Voulait-elle me laisser me faire plaisir, lui faire plaisir, continuer, ou avait-elle fait cela sans réfléchir ? Ne voulant pas tarder, mes mains tirèrent simultanément culotte et pantalon du pyjama, s’arrêtant au niveau des genoux, c’est-à-dire au bout de mes bras.
C’était un peu triste de la laisser comme cela, les vêtements du bas baissés, l’intimité découverte – bien que cachée par la couette, et moi en profitant. J’aurai au moins pu faire l’effort d’aller jusqu’au bout. Mais mon manque d’expérience, et surtout ma peur de mal faire, ma peur qu’elle soit gênée quand je le regarderais m’immobilisa. Il fallut quelques secondes, où nous ne faisions que nous embrasser, tantôt amoureusement, tantôt mécaniquement, avant que je prenne la suite.
Ma main se ...