1. Une mégère apprivoisable


    Datte: 02/11/2019, Catégories: fh, handicap, amour, dispute, Oral préservati, pénétratio, amourcach, Auteur: Ludovic Sante, Source: Revebebe

    ... meilleure bouteille qu’elle ait pu trouver dans la maison.
    
    — Alors, cette petite journée t’a été profitable ?
    — Elle m’a permis de comprendre que tu m’as ensorcelé. Je crois bien qu’avec toi je cours à ma perte, mais j’ai quand même envie d’essayer.
    — Je t’aime vraiment trop, tu sais.
    
    Je prends alors sa main pour la porter à mes lèvres et l’embrasser. Elle est vraiment radieuse, transformée, c’est la plus belle de toutes les femmes. Plus rien à voir avec la petite emmerdeuse agressive qui nous a cassé les pieds pendant toutes ces années.
    
    Après le repas, nous nous bécotons longuement sur le canapé, des baisers à n’en plus finir, empreints d’un amour tendre. Puis je la prends dans mes bras et la porte doucement jusqu’à son lit.
    
    Et je l’effeuille très lentement. Je la trouve particulièrement belle, elle porte des sous-vêtements affriolants… Je l’embrasse, je la caresse, chaque parcelle de son corps est pour moi une découverte et l’occasion de m’extasier. Ses seins bien fermes et bien galbés constituent le summum de son épanouissement. Je les bécote, je les aspire avant de descendre vers son temple sacré. Je pénètre sa grotte et bois à la source de son sanctuaire.
    
    Trouvant sans doute que je suis un peu trop précautionneux avec elle, elle intervient bientôt :
    
    — Je ne suis pas en sucre. Baise-moi très fort, j’ai très envie de toi. Enfonce ta belle bite en moi, j’en ai rêvé toute la journée, je me suis caressée comme une folle en pensant à toi…
    
    Nous refaisons ...
    ... l’amour avec beaucoup plus de force et d’intensité que la veille. Elle veut que je lui fasse tout. Elle veut tout essayer. Elle me suce avec appétit et ne serait pas opposée à ce que j’essaie sur elle une sodomie. En fait, elle veut bien tout, toutes les positions, tous les fantasmes. Elle m’aime sans restriction et elle est prête à tout me donner.
    
    L’amour est sans complexe et elle exprime son plaisir sans fausse pudeur, un amour physique et bestial qui se traduit par des gémissements et des grognements félins. Je m’aperçois à quel point elle a besoin d’étreintes physiques. Je sens que sur ce plan-là, avec elle, je ne vais pas m’ennuyer. Le sexe a dû lui manquer durant toutes ces années, et elle en est vraiment friande.
    
    Nous nous endormons très tard dans la nuit, nous sommes vidés et repus. Nous nous réveillons bien plus tard enlacés l’un à l’autre, emboîtés l’un dans l’autre.
    
    — Veux-tu m’épouser ? demande-t-elle en se tournant vers moi.
    — C’est normalement à l’homme de proposer ça à la femme.
    — Eh bien tant pis, on change les habitudes.
    — Oui, je veux bien vous épouser Madame.
    — Mademoiselle, pour le « Madame », j’attends encore d’avoir la bague. Et combien tu veux de petits moufflets ?
    — Je ne sais pas, deux, trois.
    — Moi, j’irais jusqu’à quatre. Je crois bien qu’à nos âges, il ne faut plus traîner si l’on veut en avoir quatre, alors mieux vaut s’y mettre tout de suite.
    
    Et nous refaisons l’amour avant de partir. Personne ne nous attend, nous ne sommes pas ...
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