1. Une femme peu en cacher une autre...


    Datte: 02/11/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... de gicler au fond de ce sexe. Surtout que cela ne s’arrêtait pas.
    
    À peine avait-elle libérée ma verge, que j’ai sombré dans les bras de Morphée. Je ne sais combien d’heure je m’étais assoupie que je fus réveillé avec l’impression d’être absorbé par une bouche chaude et vorace. J’ai cligné des yeux à cause de la luminosité que dégager la lampe de chevet.
    
    - Quand même ! fit ma femme, chevauchant mon sexe. Je croyais bien que tu n’allais pas te réveiller.
    
    - C‘est que j‘étais très fatigué.
    
    - Comme tu bandais fort, je me suis permis de me servir. J’ai bien fait ? Ajouta-t-elle, en montant et descendant le long de ma queue.
    
    Dans sa mobilité, ses seins remuaient lourdement à porté de mes mains. Je me suis empressé de les pétrir. De jouer avec ses mamelons. Qui grossissaient sous ma caresse. Ma femme a accéléré sa cavalcade. Passant du trot au galop. Qui la mena très vite à l’orgasme. Qu’elle extériorisa d’un cri rauque, avant de s’affaler sur moi. Haletants, nous sommes restés immobiles. Toujours emboité l’un dans l’autre.
    
    - C’était bon ! Me fit-elle.
    
    - Je ne sais pas. Je n’ai pas joui !
    
    - Oh excuse-moi !
    
    Elle se remit en selle, et à l’aide de ses muscles intimes me mena jusqu’à la jouissance. Elle s’est dégagée doucement. Du sperme a coulé le long de ses cuisses. Elle avait le visage en sueur, les cheveux en bataille. Elle s’est allongée à sa place dans le lit.
    
    - Tu as donné l’argent à Joëlle ? Me fit-elle.
    
    - Comment ça ?
    
    - Elle était bien là ...
    ... quand tu es rentré ?
    
    En peu de temps, j’ai tout de suite compris, je m’étais fait rouler par la baby-sitter. Elle s’était fait passée pour ma femme pour acquérir mes faveurs.
    
    - Ah oui ! Tu parles de Joëlle.
    
    - Oui ! Qui d’autre ?
    
    - Je n’y étais pas. Bien sûr…Oui… oui… que je lui ai donné. Cent francs, c’était ça.
    
    - Oui ! Bon sur ceux. Me fit-elle. Je vais dormir, si tu veux
    
    bien ?
    
    J’ai jeté un coup d’œil sur côté du réveil. J’avais encore de devant moi deux bonnes heures avant de me lever.
    
    - Si tu veux bien éteindre ? Fit ma femme.
    
    Je n’ai bien sûr pas pu retrouver le sommeil. Joëlle ne perdait rien pour attendre. Je comptais bien lui demander des comptes. Et pas plus tard que le lendemain.
    
    Je l’ai topé alors qu’elle attendait son car qui allait la mener jusqu’au lycée.
    
    Elle ne s’est pas fait prier pour prendre place à mes côtés. J’ai même lu de ironie chez elle. J’ai attendu de prendre la route pour la questionner.
    
    - À quoi tu joues ?
    
    - Oui je sais, j’ai déconné. Mais bon il n’y a pas mort d’homme.
    
    - Tu as profité de notre gentillesse, de ma femme et moi, pour nous trahir.
    
    - Oui ! Je m’excuse. Sur le coup je n’ai pas réfléchir au mal. Seul le plaisir de passer un bon moment avec toi m’ a fait franchir le pas. Un besoin de me faire ça avec un homme. Et pas n’importe lequel. Avec toi. Tu ne m’as jamais laisser indifférent. Mais ça, je pense que tu le sais. Cela faisait longtemps que j’avais envie de commettre ce genre de méfait avec ...