1. Une femme peu en cacher une autre...


    Datte: 02/11/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Comme c’était souvent le cas après une réception je réunissais tout le personnel qui avait travaillé avec moi sur la prestation pour prendre le verre d’amitié. Pour cela nous nous installions autour d’une table où j’avais installé des coupes de champagne bien mérité. Pour accompagner le breuvage j‘ai sorti une plateau de petits fours que j‘avais bien soigneusement mis de côté en début de soirée. Notre équipe était composé pour ce soir là de trois serveuses, Myriam ma copine de cul. Que vous connaissez, vous lecteur, si vous suivez mes récits. Christine une habitué, et une toute nouvelle, Nathalie. Trentenaire, rousse, grande, mince, sérieuse. Sa voix était gourmande, maniérée, parfois acide, elle pouffait à chaque fois qu’elle était contrainte d’employer un mot cru. Après sa première coupe, elle s’est détendu, ôtant même sa veste. Se montrant à nous en chemisier moulant. La dentelle était si fine qu’on devinait par transparence les mamelons, les tétons.
    
    Une fois la bouteille vidé je décidais de lever le camp. Alors que je m’apprêtais à fermer les lieux, Myriam est venue me proposer ses services sexuels.
    
    - Non merci, pas ce soir. Je suis trop crevé.
    
    - Viens dormir à la maison, me fit-elle.
    
    - C‘est gentil de ta part mais non. D‘ailleurs, j’ai promis à Nathalie de la déposer devant chez elle.
    
    - Ah oui ! Répliqua-t-elle. Seulement déposer ?
    
    - Ce qui est bien avec toi ma chère Myriam, c’est que tu crois ton cas pour une généralité.
    
    - Comme si je ne te ...
    ... connaissais pas.
    
    - Peut-être pas assez !
    
    - Il faut mieux entendre ça qu’être sourd. Bon dommage ! Tu ne s’es sans doute pas ce que tu loupes ! Je me sentais cette nuit, très aventureuse.
    
    - Ça crois-moi, je le sais. Tu ne manques pas d’imagination.
    
    Cela la fit bien rire.
    
    - Si par hasard tu changes d’avis tu s’es où me trouver.
    
    - Je te promets que le moment venu, j’y penserai !
    
    Sitôt débarrasser de la chieuse excitée, j’ouvris la portière à Nathalie, qui prit tout de suite place sur le siège passager.
    
    Alors que je m’apprêtais à m’installer derrière le volant, j’ai reconnu la voiture, étant celle de Myriam, s’arrêter à ma hauteur. Le carreaux s’est baissée, et de nouveau la chipie m‘a relancé.
    
    - Tu en es sûr ? Tu as bien réfléchi ?
    
    - Parfaitement sûr. Merci quand même. Et n’oublie pas que j’ai encore besoin de toi la semaine prochaine.
    
    - Tant pis pour toi ! Répliqua-t-elle en relevant le carreau.
    
    Je me fis aux indications de ma passagère. Je fis halte un peu plus tard devant le bâtiment haut de six étages, d’aspect cossu.
    
    - Bien merci ! Je suis arrivée. Je voulais te remercier de d’être occupé de moi. De m‘avoir fait confiance.
    
    - Tu as été parfaite, crois-moi. Ce n’est pas toujours le cas avec les nouvelles.
    
    - C’est gentil t’entendre cela de toi.
    
    - C‘est naturel. Quand c’est bien il faut le dire.
    
    Avant de refermer la portière, elle marqua un temps d’arrêt.
    
    - Si tu venais prendre un verre chez moi, ça me ferait plaisir, lança-t-elle, ...
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